Vendredi 7 septembre.
Pas de carte IGN ou de topo-guide pour ce jour, la balade ayant consisté en une grosse sieste sur la plage de Porto (celle de Corse, pas au Portugal) accompagnée par une balade en bateau du côté des calanches de Piana, à défaut de pouvoir effectuer le grand tour passant par la réserve naturelle de Scandola, le vent fort générant des vagues empêchant les petits bateaux d'aller dans ce coin en toute sécurité avec des touristes à leur bord (je pense que pour Laurent Bourgnon la balade n'aurait pas posé de problème, mais l'organisme ne voulait probablement pas prendre de risques inutiles)
Deux jours plus tard nous irons à Girolata, maigre consolation nous permettant cependant d'avoir une idée du caractère sauvage de la réserve, sans bien évidemment pouvoir admirer depuis la mer son littoral déchiqueté.
La journée était donc consacrée au repos avant de recommencer les randonnées sérieuses qui finiront par nous mettre sur les genoux à la fin de notre séjour.
On notera l'altitude qui varie beaucoup en mer, certainement à cause des vagues, oscillant autour des 50 mètres, ce qui ne surprendra guère quand on sait que le GPS Backtrack D-Tour a la particularité de systématiquement surestimer l'altitude de 50 mètres ! Cela plus la variabilité due au caractère instable du petit bonhomme caché dans le boitier qui prend un malin plaisir à changer constamment les données, même quand vous êtes à l'arrêt complet.
En tout cas au départ voici ce qu'il montrait (le GPS, pas le petit bonhomme, ne croyez pas tout ce que je vous raconte…)
Mais d'abord plantons le décor où nous allons évoluer.
Pas de carte IGN ou de topo-guide pour ce jour, la balade ayant consisté en une grosse sieste sur la plage de Porto (celle de Corse, pas au Portugal) accompagnée par une balade en bateau du côté des calanches de Piana, à défaut de pouvoir effectuer le grand tour passant par la réserve naturelle de Scandola, le vent fort générant des vagues empêchant les petits bateaux d'aller dans ce coin en toute sécurité avec des touristes à leur bord (je pense que pour Laurent Bourgnon la balade n'aurait pas posé de problème, mais l'organisme ne voulait probablement pas prendre de risques inutiles)
Deux jours plus tard nous irons à Girolata, maigre consolation nous permettant cependant d'avoir une idée du caractère sauvage de la réserve, sans bien évidemment pouvoir admirer depuis la mer son littoral déchiqueté.
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| Source Pinterest |
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| Source jerome-rattat |
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| Notre balade en mer vue depuis le satellite. |
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| Données GPS avec altitude, distance et température. |
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| Données GPS avec altitude, durée et vitesse. |
On notera l'altitude qui varie beaucoup en mer, certainement à cause des vagues, oscillant autour des 50 mètres, ce qui ne surprendra guère quand on sait que le GPS Backtrack D-Tour a la particularité de systématiquement surestimer l'altitude de 50 mètres ! Cela plus la variabilité due au caractère instable du petit bonhomme caché dans le boitier qui prend un malin plaisir à changer constamment les données, même quand vous êtes à l'arrêt complet.
En tout cas au départ voici ce qu'il montrait (le GPS, pas le petit bonhomme, ne croyez pas tout ce que je vous raconte…)
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| 31° à 54 mètres d'altitude au raz des vagues, cherchez l'erreur, une seule de ces deux données a un semblant de correctitude. |
Mais d'abord plantons le décor où nous allons évoluer.
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| La plage de Porto à onze heures du matin, trois heures avant le départ qui s'effectue sous la tour génoise ; la réserve de Scandola est au fond à droite. |
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| Au passage de la tour génoise la mer commence à s'agiter, le petit port est déjà derrière nous. |
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| Le hors-bord file d'abord tout droit, le début ne présentant pas beaucoup d'intérêt. |
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| Cette formation rocheuse a un nom mais je ne me souviens plus lequel (peut-être le château-fort ?) |
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| Nous passons devant la plage confidentielle de Ficaghiola où l'on accède uniquement à pied à partir d'un parking situé au niveau de la maison visible juste au-dessus. |
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| Parfois le pilote passe entre les rochers, partout où cela lui est possible, afin de nous faire quasiment sentir la roche en plus des embruns. |
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| Un drôle d'oiseau nous observe… |
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| La carte de la Corse se découpe dans le rocher depuis l'intérieur d'une grotte. |
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| Et un peu plus loin nous avons droit à la carte de la Sardaigne (mais pas de carte de France en vue…) |
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| Le terme de la balade est le Capu Rossu où nous irons à pieds depuis Piana quelques jours plus tard. |
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| La tour de Turghui nous domine du haut de ses 331 mètres. |
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| Avant de retourner au port nous passons sous une autre carte de Corse, à croire qu'ils sont venus ici pour façonner le rocher avec des pioches afin de nous faire croire que seule la nature était à l'œuvre. |
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| Et pour couronner la journée, le soir depuis le belvédère d'Evisa la nature nous offre ce spectacle sans cesse renouvelé. |
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| Le golfe de Porto, au loin, a retrouvé son calme, c'est peut-être à cette heure-ci que nous aurions dû faire notre balade en bateau… |
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