mercredi 13 mars 2024

Les sanctions contre la Russie marchent, c'est bien pour cela que les Russes demandent à ce qu'elles soient levées !

 Il est de bon ton de se moquer de Bruno Lemaire qui avait affirmé, en mars 2022, peu de temps après l'agression russe en Ukraine, « Nous allons provoquer l’effondrement de l’économie russe ».

Qu'y a-t-il d'étonnant à ce qu'un Jacques Sapir, dans Valeurs Actuelles, déclare « L'erreur de Bruno Le Maire restera dans les annales » ?

Qu'y a-t-il de surprenant à ce qu'un clown comme Olivier Delamarche twitte « La seule véritable sanction qui pourrait provoquer l’effondrement de l’économie russe serait de t’envoyer comme ministre de l’économie là-bas » ?

En fait Bruno Lemaire a eu parfaitement raison, l'économie russe est en train de s'effondrer, mais il aurait dû être plus précis et ajouter que cela prendrait « un certain temps ».

On ne peut en effet que constater que jusqu'à présent la Russie arrive à tenir le coup, mais à quel prix !

Certes son PIB se porte plutôt bien, en apparence, puisque son taux de croissance aurait été de 2,2% en 2023, mais après une chute de -2,1% en 2022 !

Russie : taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) réel de 2014 à 2023, avec des estimations jusqu'en 2028 (source Statista)

Ce PIB aurait même progressé de 4,9% au deuxième trimestre 2023 sur un an d'après les Echos.

Il faut cependant rajouter que la Russie est entrée en économie de guerre, ce qui signifie que l'essentiel de sa production est destiné à partir en fumée dans le conflit avec l'Ukraine. Les Russes, eux, devront attendre, encore une fois « un certain temps », avant de cueillir les fruits d'un arbre en plutôt mauvais état.

Alors on peut gober le narratif du Kremlin, en écoutant par exemple en boucle un Xavier Moreau qui vous affirme sérieusement que la Russie a déjà gagné la guerre et que bien entendu son économie se porte comme un charme, mais on peut aussi essayer d'entendre un autre discours avec des arguments bien étayés, comme par exemple dans l'article On Russia Sanctions, European Populists Parrot the Kremlin's False Claims, chez foreignpolicy.com dont je vous offre la traduction.

Evidemment il va sans dire que les sanctions ne peuvent marcher que si elles sont maintenues autant de temps que nécessaire, c'est-à-dire jusqu'à la défaite pure et simple non pas de la Russie mais du régime mis en place par Vladimir Poutine. C'est pour cela qu'une élection de Donald Trump en novembre prochain pourrait éventuellement ficher tout en l'air...

L'Histoire jugera, et elle risque de ne pas être tendre envers ceux qui auraient permis au boucher du Kremlin de se sortir du mauvais pas dans lequel il s'est lui-même fourré.


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Les affirmations selon lesquelles les sanctions nuisent davantage à l'Europe qu'à la Russie sont erronées

Le Kremlin et ses amis occidentaux colportent un faux récit.

Par chroniqueuse à Foreign Policy et chargée de mission sur la géoéconomie au Conseil européen des relations étrangères.

La dirigeante française d'extrême droite Marine Le Pen rencontre le président russe Vladimir Poutine au Kremlin, à Moscou, le 24 mars 2017. MIKHAIL KLIMENTYEV/SPUTNIK/AFP VIA GETTY IMAGES


11 MARS 2024, 14H08


Étant donné que de nombreux partis populistes européens ont des penchants favorables à la Russie, il n'est peut-être pas surprenant qu'ils aiment souvent répéter les points de vue du Kremlin. Ces jours-ci, cela inclut l'appel à la levée des sanctions occidentales contre Moscou, comme l'ont demandé de nombreux partis européens allant de l'extrême droite à l'extrême gauche.

Le discours habituel qui sous-tend la demande de levée des sanctions contre Moscou est basique : le Rassemblement national français, l'Alternative pour l'Allemagne et le Premier ministre hongrois Viktor Orban affirment tous que les sanctions se sont retournées contre eux, nuisant aux économies européennes sans faire de mal à Moscou. Les partis populistes de l'Union européenne se préparant aux élections du Parlement européen en juin, ces discours ne feront que gagner en importance. Il est donc grand temps de démystifier ces affirmations erronées.

Le discours le plus populaire des politiciens favorables à la Russie est que les sanctions ruinent les entreprises et les consommateurs européens. L'affirmation la plus répandue, à savoir que les sanctions ont entraîné une hausse des prix de l'énergie (et de l'inflation) en Europe, est la plus facile à réfuter : C'est l'attaque de la Russie contre l'Ukraine et le chantage au gaz contre l'Europe qui ont déclenché la flambée des prix mondiaux des hydrocarbures au début de l'année 2022. Les pays occidentaux n'ont commencé à imposer des sanctions sur les exportations d'énergie de la Russie qu'en novembre de cette année-là, alors que les prix du pétrole et du gaz étaient déjà en recul.

Un autre argument consiste à dire que les sanctions pénalisent les entreprises européennes tournées vers l'exportation, qui ont perdu l'accès au marché russe. Toutefois, la réalité est probablement plus bénigne : La Russie n'a jamais été un marché important pour les entreprises de l'UE, les entreprises russes n'ayant acheté que 4 % des exportations de l'UE en 2021. Si l'on considère qu'environ la moitié des exportations de l'UE vers la Russie tombent sous le coup des sanctions, cela signifie que seulement 2 % des exportations de l'UE sont affectées, ce qui n'est pas un chiffre décisif.

Les données nationales du Centre d'études prospectives et d'informations internationales, un centre de recherche français, confirment cette évaluation. Elles montrent que l'impact des sanctions contre la Russie sur l'économie française est presque négligeable, avec seulement 0,8 % des exportations françaises, soit environ 4 milliards d'euros (4,4 milliards de dollars). À titre de comparaison, cela représente environ 0,1 % du PIB français. L'étude ne porte que sur la France, mais ces résultats ne seraient probablement pas radicalement différents dans d'autres économies de l'UE. Avec les entreprises allemandes, les entreprises françaises font partie de celles qui, en Europe, ont les liens les plus étroits avec la Russie. Cela laisse supposer que les entreprises de nombreux autres pays européens sont encore moins touchées.

Une autre version de l'affirmation favorable au Kremlin selon laquelle les sanctions écrasent les économies européennes repose sur l'idée que les entreprises européennes ont été forcées d'abandonner leurs investissements en Russie à cause des sanctions. Le Financial Times, par exemple, a calculé qu'entre le début de l'invasion totale de l'Ukraine et août 2023, les entreprises européennes ont enregistré des pertes d'environ 100 milliards d'euros (109,4 milliards de dollars) dans leurs activités en Russie.

Ce chiffre est peut-être exact, mais l'idée qu'il a beaucoup à voir avec les sanctions ne résiste pas à l'examen. À ce stade, les sanctions n'empêchent pas les entreprises européennes de faire des affaires en Russie, sauf dans certains secteurs spécifiques, comme la défense. Les pertes subies par les entreprises européennes en Russie ont deux autres causes. La première est que de nombreuses entreprises ont choisi de se retirer - par crainte des risques de réputation ou parce qu'elles ne veulent pas payer d'impôts russes et contribuer ainsi à la guerre de Moscou.

La deuxième cause de pertes est la multiplication des saisies d'actifs, le Kremlin obligeant de nombreuses entreprises européennes à vendre leurs actifs à un prix inférieur à leur valeur, parfois pour un seul rouble. En d'autres termes, même dans un monde hypothétique sans sanctions, les entreprises européennes qui ont parié sur le marché russe seraient aujourd'hui confrontées à des pertes considérables. Bien entendu, le Kremlin affirme que les expropriations ne sont qu'un moyen de rétorsion contre les sanctions. Cette argumentation ne fait que s'ajouter à la longue liste des affirmations bidon de Moscou, qui ne cherche qu'à se défendre contre l'agression occidentale.

Un autre argument que les politiciens populistes européens aiment colporter est que les sanctions européennes sur l'énergie russe ne sont pas seulement coûteuses - une affirmation fausse, comme nous l'avons vu - mais aussi inutiles. Il existe plusieurs versions de ce mythe, mais la plus populaire est que l'embargo pétrolier de l'UE et le plafonnement des prix du pétrole convenu par les pays membres du G-7 et de l'UE n'affectent pas les producteurs de pétrole russes parce qu'ils ont pu réacheminer des cargaisons de pétrole vers l'Inde.

En effet, les raffineurs indiens absorbent aujourd'hui la majeure partie des exportations de pétrole brut en provenance des ports russes de la Baltique, qui desservaient auparavant l'Europe. Ce point de vue occulte toutefois le fait que, pour Moscou, vendre du pétrole aux raffineurs indiens est beaucoup moins lucratif que de le vendre à l'Europe. Les routes maritimes vers l'Inde sont beaucoup plus longues (et donc plus coûteuses) que celles vers l'Europe. En outre, les acheteurs indiens sont capables de faire des affaires : Ils estiment qu'ils rendent service au Kremlin en compensant la perte du marché européen et ont donc droit à de fortes remises sur le pétrole russe.

Une étude de la Kyiv School of Economics montre que les dommages subis par la Russie sont loin d'être négligeables. Au cours des deux dernières années, le Kremlin a perdu environ 113 milliards de dollars en recettes d'exportation de pétrole, principalement en raison de l'embargo de l'UE sur le pétrole russe. L'année dernière, lorsque l'embargo de l'UE et le plafonnement des prix du pétrole du G-7/UE sont devenus pleinement effectifs, l'excédent commercial global de la Russie a diminué de 63 % pour atteindre 118 milliards de dollars, ce qui a limité les ressources financières du Kremlin pour mener la guerre en Ukraine.

Cette année risque de ne pas être meilleure pour les exportateurs de pétrole russes : Le mois dernier, le Kremlin a annoncé que les entreprises pétrolières devraient renoncer à une partie de leurs bénéfices pour compenser la baisse des recettes d'exportation de l'État. Pour des sociétés comme la compagnie pétrolière russe Rosneft, c'est la première fois que Moscou demande aux entreprises énergétiques nationales de contribuer directement au financement de l'effort de guerre.

Au fur et à mesure que l'application des sanctions s'intensifie, l'idée que les sanctions sont inutiles perd de sa crédibilité. Depuis octobre, les États-Unis ont imposé des sanctions à 27 pétroliers qui transportaient du pétrole russe en contournant le plafond des prix du pétrole fixé par le G7 et l'UE, une mesure qui interdit à toute entreprise basée dans l'un ou l'autre bloc de faire des affaires avec ces pétroliers. Cela met en évidence un changement radical dans l'interprétation des sanctions occidentales. Jusqu'à récemment, le plafonnement des prix ne s'appliquait que lorsqu'une compagnie maritime ou d'assurance basée dans le G7 ou l'UE était impliquée dans le transport du pétrole russe. Washington interprète désormais le lien avec les compagnies occidentales de manière beaucoup plus large.

Par exemple, les pétroliers battant pavillon libérien, qui représentent une part importante de la flotte fantôme russe, sont désormais soumis au plafonnement des prix du pétrole parce que le Liberia sous-traite ses opérations de pavillon à une société basée aux États-Unis. Parallèlement, les pays occidentaux ont intensifié la pression sur les raffineurs indiens afin de les inciter à renoncer aux approvisionnements russes. Au grand dam du Kremlin, ces efforts semblent efficaces : Depuis le début de l'année, les importations indiennes de brut russe ont progressivement chuté d'environ un tiers par rapport au pic atteint en mai 2023.

L'argument des populistes selon lequel les sanctions nuisent davantage à l'Europe qu'à la Russie ne tient pas la route. En réalité, l'impact de ces mesures sur les entreprises européennes est faible, tandis que la Russie est confrontée à des vents contraires de plus en plus forts alors qu'elle tente de détourner son brut de l'Europe.

L'affirmation selon laquelle les sanctions sont coûteuses et inefficaces est facile à réfuter, mais ce discours ne semble pas près de disparaître. Alors que les hommes politiques favorables à la Russie intensifient leur campagne pour le Parlement européen et d'autres élections, on ne peut que s'attendre à ce que ces points de discussion deviennent de plus en plus fréquents dans les semaines à venir. Si les sanctions n'avaient pas d'effet sérieux sur la Russie, le Kremlin et ses alliés occidentaux ne dépenseraient probablement pas autant d'énergie pour les affaiblir.


Agathe Demarais est chroniqueuse à Foreign Policy, chargée de mission sur la géoéconomie au Conseil européen des relations extérieures et auteur de Backfire : How Sanctions Reshape the World Against U.S. Interests. Twitter : @AgatheDemarais


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12 commentaires:

  1. He beh mon pote, dans le genre couillonades de franchouillard on atteint des sommets sur cette lamentable page. De la part d'un M. "je sais tout sur tout" qui vit dans un pays en faillite gouverné par des abrutis, c'est un paragon d'ignardise. Un vrai Coq, le seul oiseau qui chante les pattes dans la merde. En même temps (comme dirait votre minuscule et affligeant président) ce n'est pas comme si beaucoup de gens lisaient ce lamentable torchon qui vous sert de blog pour venir y chercher une quelconque illumination.
    Je suppose que vous allez commettre un "article" pour announcer à ce Monde ignorant que vous êtes attaqué par des trolls russes (comme pour les puces de lits parisiennes ou le sexe de la "femme" de votre Micromacron).
    Salutations de Moscou

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    1. "Je suppose que vous allez commettre un "article" pour announcer à ce Monde ignorant que vous êtes attaqué par des trolls russes"
      Ben non, votre commentaire se suffit à lui-seul.
      Il y a certes des trolls russes, mais il y a encore plus d'idiots utiles qui régurgitent leur bouillie. A quelle catégorie appartenez-vous ?

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    2. Holala on peut dire que dans le genre prolixe, vous êtes un mètre étalon.
      Que de blabla inutile et gratuit! Vos mictions sur Second Life sont à sauvegarder pour l'illumination des générations futures. En tous les cas vous avez vraisemblablement du temps à perdre. Vous présentez toutes les caractéristiques du petit bourgeois revolutionnaire de salon.
      Bises

      Vlad Țepeş

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  2. A la categorie de ceux qui constatent que votre blog ridicule de communiste infatué ne sert qu'a propager une pathétique propagande. Les petits kapos de votre engeance ne trompent plus grand monde aujourd'hui. He oui c'est tout de même dommage que les faits vous donnent systematiquement tort. Je suppose que comme tout bon petit soldat marxiste vous serez en première ligne pour aller défendre Odessa même si vos idées moisies laissent a penser que vous n'êtes probablement plus de première fraîcheur. En même temps, vu la moyenne d'âge actuelle des pauvres combattants ukrainiens, vous feriez parfaitement l'affaire. Allez papy ayez un peu de courage une fois dans votre miserable vie de délateur, que diantre! Mais pour cela, encore faudrait-il que vous ayez ne serait-ce qu'une once de courage et d'intégrité; ce que vos ridicules saillies, si confortablement anonymes, ici commises démentent totalement.
    Bien à vous,
    Vlad l'Empaleur

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  3. "No, I am not a French leftist, I am not Jacobin..." and that's from freakin' 2008!
    Dude you so obviously are!
    Et visiblement vous avez de gros soucis d'ego.
    16 ans que vous vous faites passer pour un génie omniscient que vous n'êtes clairement pas. Il faudrait peut-être penser à changer de registre Monsieur l'imposteur ou serait-ce Madame?
    And there we are with a Trogneux conundrum!
    Je sens que je vais vous rendre visite souvent ici, vous êtes certes un personnage fascinant mais certainement pas pour les qualités que vous semblez vous auto attribuer.
    Quand on pense que vous traitez vos contradicteurs de cas psy... Vous étes champion de la projection.

    A bientôt,

    Vlad

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  4. Je pense que j'en ai ferré un bon là.
    A mon avis Vlad ne croit pas au réchauffement climatique, il porte Raoult aux nues et est bien sûr antivax, et pour couronner le tout vote franchement à droite (j'hésite entre Le Pen, Philipipeau, Asselineau et Zémour, peut-être va-t-il nous éclairer)
    Comme il me prend pour un marxiste j'en déduis qu'il est aussi lucide que ses maitres à penser.
    Et je publie ses commentaires parce qu'ils m'ont fait rire et que je suis joueur.

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  5. Non, vous êtes juste trop heureux que quelqu'un daigne vous porter de l'intérêt. A la vue du temps que vous passez depuis des lustres à tenter de vous rendre interessant et intelligent, ça ne fait aucun doute.
    Ha oui et vos supputations me concernant sont si révélatrices de votre étroitesse d'esprit de petit commissaire politique franchouillard que s'en est caricatural. Aucune finesse, aucun talent...
    On se demande bien qui divertit qui ici?
    A vrai dire vous êtes plutôt soupe au lait, prévisible et sans aucun panache.
    Bon en même temps je suis certain de ne pas être déçu par votre niveau.

    Bon allez bisous M.Bidochon!

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    1. "On se demande bien qui divertit qui ici?"
      En l'occurrence c'est vous qui me divertissez.
      C'est gentil de passer me voir et de prendre de votre précieux temps pour commenter sur mon insignifiant blog.
      Autrement à part cela vous avez pensé à consulter ?

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  6. Vraiment aucune imagination et une répartie à peine digne d'un adolescent prépubère. Toujours les mêmes sorties d'arrogant limité. Êtes-vous vraiment à ce point incapable de changer de registre et de vannes moisies?
    "Autrement à part cela vous avez pensé à consulter ?"; toujours la même vanne M. Narcisse grandiose?
    Quelle déception...

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    1. "Quelle déception"
      En tout cas en ce qui me concerne je ne suis pas déçu, vous validez admirablement toutes les cases du bingo du beauf périphérique qui essaie de se donner l'illusion d'exister en s'acharnant sur un petit blogueur sans importance qui ne cherche qu'à passer un peu de temps à expliquer ce qu'il comprend du monde qui l'entoure. Et dans ce monde-là existent d'autres animalcules insignifiants dont vous êtes un magnifique échantillon.
      Continuez sur votre lancée, vous arriverez bien un jour à trouver du pétrole à force de creuser votre trou.

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    2. Et bien, si même des trolls russes viennent s'attaquer à votre blog c'est que vous avez mis le doigt là où ca fait mal ^^
      En quelques sortes, ils viennent valider la véracité de votre discours !

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    3. Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un véritable troll russe, nous devons être plutôt en présence d'un simple idiot utile qui recrache sans réfléchir la propagande du Kremlin.
      A partir de maintenant je ne le publie même plus et le laisse chouiner dans le vide (parce que oui il continue à commenter)

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