Nous connaissons dès à présent le futur prix Nobel (de quoi, cela reste à imaginer), il s'agit du prodigieux Ed Berry qui va démontrer le 7 septembre prochain, à Porto au Portugal, que les climatologues se sont jusqu'à présent complètement plantés.
Dans Secretary Zinke is correct on Clement and climate il nous dit :
Cela vaut bien une médaille, non ?
Addendum : on me dit dans l'oreillette qu'en fait il recevra le prix Nobel conjointement avec Christopher Monckton qui lui aussi a démontré récemment qu'il fallait revoir toute la science des deux derniers siècles dans un article qui fera date et publié dans une revue internationale réputée à comité de lecture composé de ses lecteurs, j'ai nommé Watts up with that?
Malheureusement une revue concurrente, certainement très jalouse, n'a pas voulu de son papier malgré son caractère éminemment correct sur le plan orthographique, mais notre Lord en papier mâché ne se laisse pas démonter :
Voilà, maintenant vous savez tout et ne serez pas surpris lors des prochaines nominations.
Ah, on me dit encore dans l'oreillette que je devrais consulter le programme de la conférence qui va se tenir à Porto le 7 septembre prochain (c'est ici) car il y a de sacrées pointures (qui doivent au moins chausser du 50) dont voici quelques exemples :
Edwin X Berry, PhD, Physics (source edberry.com/blog/climate-physics/) |
Dans Secretary Zinke is correct on Clement and climate il nous dit :
[…] of today’s 410 ppm of atmospheric CO2, 392 ppm comes from natural CO2 and only 18 ppm comes from human CO2.
Ben oui n'est-ce pas, l'homme n'est quasiment en rien responsable du réchauffement climatique et Ed va nous le prouver.[…] Sur les 410 ppm de CO2 atmosphérique d'aujourd'hui, 392 ppm proviennent du CO2 naturel et seulement 18 ppm proviennent du CO2 humain.
Cela vaut bien une médaille, non ?
Addendum : on me dit dans l'oreillette qu'en fait il recevra le prix Nobel conjointement avec Christopher Monckton qui lui aussi a démontré récemment qu'il fallait revoir toute la science des deux derniers siècles dans un article qui fera date et publié dans une revue internationale réputée à comité de lecture composé de ses lecteurs, j'ai nommé Watts up with that?
Malheureusement une revue concurrente, certainement très jalouse, n'a pas voulu de son papier malgré son caractère éminemment correct sur le plan orthographique, mais notre Lord en papier mâché ne se laisse pas démonter :
We are persevering, though, for in our submission nothing the reviewers have said in any way undermines the scientific validity of our result, which I outlined here in a series some months back.
Il faut croire que les réviseurs se sont focalisés sur la syntaxe et l'ont trouvée plutôt faible, ce qui est étonnant quand on connait la maestria moncktonnesque en matière de jolies phrases destinées à endormir son public tout acquis à la cause.Nous persévérons, cependant, car de l'article que nous avons soumis les réviseurs n'ont rien dit qui ne vienne en discréditer la validité scientifique, que j’ai décrite ici [i.e. dans WUWT] dans une série il y a quelques mois.
Voilà, maintenant vous savez tout et ne serez pas surpris lors des prochaines nominations.
Ah, on me dit encore dans l'oreillette que je devrais consulter le programme de la conférence qui va se tenir à Porto le 7 septembre prochain (c'est ici) car il y a de sacrées pointures (qui doivent au moins chausser du 50) dont voici quelques exemples :
- Piers Corbyn
- Nils-Axel Mörner
- François Gervais (si si, Gervais himself !)
- Christopher Monckton (ben oui, normal)
- Camille Veyres (vous savez, le sympathisant…)
- Don Easterbrook (celui qui avait prédit un nouvel âge de glace)
- Enfin Benoit Rittaud, la cerise sur les gâteux, qui viendra quasiment conclure cette magnifique conférence puisqu'il interviendra (sur quoi, on se le demande étant donné qu'il n'y connait pas grand chose) deux heures avant les petits-fours de clôture.
Du lourd, rien que du très lourd, je le sens de plus en plus venir ce Nobel, accrochez-vous bien à tout ce que vous pouvez, la science climatique va voler en mille morceaux, je vous aurai prévenus !
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