Mardi 4 septembre.
Sur le chemin qui nous mène d'Ajaccio à Evisa, notre lieu de villégiature d'où nous pourrons rayonner pour effectuer les randonnées prévues au programme, nous nous arrêtons à Cargèse et en profitons pour aller faire un tour du côté de la tour génoise qui trône au bout d'un petit cap faisant face à la Pointe de Cargèse.
Nous n'avions pas de carte IGN pour cette balade (on ne peut pas vraiment parler de « randonnée »...) mais avons utilisé les informations du topo-guide des 60 plus beaux sentiers de Corse des éditions Chamina (pages 40-41)
Il s'agit d'une première approche de la nature Corse, un peu comme un apéritif avant d 'entrer dans le vif du sujet avec les plats principaux qui viendront par la suite, quand les mollets se seront accoutumés aux sentiers « rustiques » que l'on n'a pas l'habitude de trouver dans les montagnes de France continentale où les pierres inutiles sont en principe déblayées (en Corse tout semble avoir été laissé en l'état afin de nous faire profiter d'une partie de l'état original dans lequel se trouvaient les sentiers avant toute intervention, minimale, de l'homme ; cela dit certains sentiers, nous le verrons plus tard, sont très bien « construits » et sont de véritables boulevards comparés aux autres)
La balade s'est déroulée le matin (nous sommes arrivés tôt à Ajaccio par le ferry de 7 heures) et avons donc pu bénéficier d'un temps splendide mais se couvrant vers la fin ; dans l'après-midi, en montant à Evisa, nous avons essuyé notre premier gros orage (sur les deux que nous avons subis !)
Nous arrivons trempés à l'hôtel, les quelques mètres allant de la voiture au hall d'entrée ayant suffi pour nous rafraichir de la balade effectuée quelques heures plus tôt.
Sur le chemin qui nous mène d'Ajaccio à Evisa, notre lieu de villégiature d'où nous pourrons rayonner pour effectuer les randonnées prévues au programme, nous nous arrêtons à Cargèse et en profitons pour aller faire un tour du côté de la tour génoise qui trône au bout d'un petit cap faisant face à la Pointe de Cargèse.
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| Circuit vu depuis le satellite. |
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| Données GPS : altitude, distance et vitesse. |
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| Données GPS : altitude, durée et température. |
Nous n'avions pas de carte IGN pour cette balade (on ne peut pas vraiment parler de « randonnée »...) mais avons utilisé les informations du topo-guide des 60 plus beaux sentiers de Corse des éditions Chamina (pages 40-41)
Il s'agit d'une première approche de la nature Corse, un peu comme un apéritif avant d 'entrer dans le vif du sujet avec les plats principaux qui viendront par la suite, quand les mollets se seront accoutumés aux sentiers « rustiques » que l'on n'a pas l'habitude de trouver dans les montagnes de France continentale où les pierres inutiles sont en principe déblayées (en Corse tout semble avoir été laissé en l'état afin de nous faire profiter d'une partie de l'état original dans lequel se trouvaient les sentiers avant toute intervention, minimale, de l'homme ; cela dit certains sentiers, nous le verrons plus tard, sont très bien « construits » et sont de véritables boulevards comparés aux autres)
La balade s'est déroulée le matin (nous sommes arrivés tôt à Ajaccio par le ferry de 7 heures) et avons donc pu bénéficier d'un temps splendide mais se couvrant vers la fin ; dans l'après-midi, en montant à Evisa, nous avons essuyé notre premier gros orage (sur les deux que nous avons subis !)
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| Difficile de rater le départ du sentier… |
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| Dès le départ nous pouvons apercevoir la tour, le cheminement ne présentant aucune difficulté ; déjà des nuages se forment, mais ils ne sont pas encore menaçants. |
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| Quelques arbres permettent d'agréables pauses si le soleil tape trop fort. |
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| En se retournant on peut apercevoir, au loin et à contre-jour, la ville de Cargèse, de l'autre côté du petit golfe. |
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| Moins d'une heure après le départ nous arrivons déjà à la tour. |
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| Le retour s'effectuera de préférence par l'autre chemin, celui qui longe la côté découpée au nord de la presqu'ile. |
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| Depuis la tour la jonction des deux sentiers est nettement visible. |
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| Dans l'après-midi, sur la route qui monte à Evisa, en pleine tourmente, des cochons vaquent indolemment à la recherche de nourriture sans se préoccuper ni de l'orage ni de la circulation. |
Nous arrivons trempés à l'hôtel, les quelques mètres allant de la voiture au hall d'entrée ayant suffi pour nous rafraichir de la balade effectuée quelques heures plus tôt.
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