samedi 10 septembre 2016

L'étang d'Eychelle au-dessus de Bethmale

Aujourd'hui petite randonnée de la demi-journée, la forme (de madame) n'était pas au rendez-vous et de plus le temps n'était pas particulièrement propice pour admirer le paysage et prendre des photos (nuages et brouillard avec un petit vent froid assez désagréable)

Le départ se situe au col de la Core, apprécié des cyclistes :
  • Le col est aussi connu pour être un passage privilégié du Tour de France avec sept ascensions depuis 1984, la dernière remontant à l'été 2015.
 

On monte en laissant le Cap de Bouirex derrière soi :


Peu après le départ, sur la gauche très loin dans les pentes au-dessus du sentier, quelques isards que j'ai eu beaucoup de mal à cadrer au téléobjectif :


Le lac est atteint au bout d'une petite paire d'heures :


Nous y cassons la croûte mais ne nous attardons pas, il ne fait pas chaud (soleil voilé et vent froid soufflant de la vallée) et décidons de revenir à la voiture par le même chemin ; il est possible de continuer vers les étangs d'Arrouech et de Milouga, tout près du Valier, mais c'est vraiment trop loin, ce sera pour une autre fois, peut-être.

Le GPS a étonnamment bien marché, pour une fois, même si les trajets aller et retour ne coïncident par parfaitement, surtout en forêt, mais on ne peut quand même pas lui demander la lune, surtout que je n'ai pas la carte IGN correspondant à ce secteur de la galaxie :


Les statistiques sont modestes :
  • durée de la course : 3 heures 43
  • dénivelée : 500 mètres
  • distance parcourue : même pas 8 kilomètres
Mais les performances on s'en fout, on s'est oxygénés, c'est l'essentiel.

On aperçoit le petit lac rond de Bethmale, au nord du parcours, que nous évitons soigneusement (Bethmale signifie mauvaise vallée...) afin de préserver la faune locale : le pêcheur :


Je ne peux pas résister pour une fois à l'envie de situer le parcours dans le contexte pyrénéen :


Entre Atlantique à l'ouest et Méditerranée à l'est nous avons fait un pas de fourmi, mais ce sont les fourmis qui font les grandes rivières (enfin bon, un truc comme ça) et on peut admirer le réseau du bassin Adour-Garonne dans toute sa splendeur !




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