Le feuilleton continue et nous ne nous ennuyons jamais.
Voici ce que l'on peut lire chez qui-vous-savez :
Ce commentaire venait à la suite de celui de notre commissaire chéri, j'ai nommé monsieur Antoine :
Monsieur Antoine tient à tout prix à montrer à ses lecteurs adorés des cartes censées appuyer ses dires ; les deux premiers liens qu'il donne ne disent rien du tout de ce qu'il affirme, la preuve :
Aves ces deux cartes balancées sans aucune explications monsieur Antoine croit que ses lecteurs auront compris de quoi il retourne, si vous êtes dans ce cas alors c'est que vous êtes un expert en météorologie avec spécialisation en divination (les tarots sont des cartes après tout) mais la troisième carte risque de tout foutre en l'air :
Là c'est un peu plus clair, mais pas vraiment à l'avantage de monsieur Antoine ! Il nous dit en effet :
J'ai essayé de positionner le rond vert à peu près où se situe notre AMP ; on remarquera qu'il est juste sous la crête barométrique (ridge) du jet-stream et qu'un autre anticyclone est situé plus à l'est et au nord sous une autre crête qui remonte bien plus au nord ; et quand on regarde la carte météo de monsieur Antoine on voit bien cet autre anticyclone qui est encore plus marqué (la pression n'est pas indiquée mais on comprend qu'elle est bien supérieure aux 1027hPa du premier « AMP »)
Plus à l'est encore on distingue nettement un creux barométrique (trough) au-dessus du nord américain, et cela correspond assez bien aux zones de basses pressions mentionnées sur la carte de monsieur Antoine.
Or monsieur Antoine prétend que ce qui se passe à 10 500 mètres d'altitude n'a rien à voir avec ce que nous éprouvons à la surface, bizarre non ? Surtout si l'on regarde maintenant la même carte mais avec les données de surface :
Le rond vert est exactement à la même place que sur la carte précédente et que constate-t-on ? On constate qu'il se trouve très près du centre anticyclonique situé légèrement plus à l'est !
De la même façon on constate qu'il y a bien un anticyclone situé approximativement au même endroit, près des côtes américaines, que la crête barométrique nettement visible sur la carte montrant le jet-stream à 10 500 mètres d'altitude !
Mais il y a encore plus fort, si c'est possible (mais oui c'est possible, avec monsieur Antoine tout est possible)
Le fameux (ou fumeux, c'est comme vous voudrez) AMP que croit avoir vu monsieur Antoine est donc situé au sud du jet-stream, cette barrière infranchissable entre les masses d'air froid polaire et celles plus chaudes venant du sud ! Ainsi ce que monsieur Antoine a pris pour un anticyclone provenant du pôle nord est en fait un anticyclone généré très probablement à la frontière entre les cellules de Hadley et de Ferrel :
Ces anticyclones se forment généralement à la latitude 30° (nord et sud) alors que les anticyclones d'origine polaire, que monsieur Antoine appelle des AMP, se créent évidement au-dessus des pôles en se dirigent obligatoirement vers l'équateur (où donc pourraient-ils aller ailleurs ?) pour finalement se heurter à la barrière infranchissable pour eux que constitue le long ruban du jet-stream.
Voici ce que l'on peut lire dans le livre Climats passé présent futur page 47 :
Pour appuyer ce que je dis, hormis le livre déjà cité nous avons Wikipédia (c'est moi qui souligne en rouge) :
On voit bien qu'au niveau du jet-stream, à 10-11 kilomètres d'altitude, on parle bien de cyclones et d'anticyclones, bizarre non ?
Un autre site éducatif nous explique ceci :
Curieux n'est-ce pas comme le jet-stream peut être considéré par les météorologues (les vrais) comme pouvant avoir « une forte influence sur les conditions météorologiques locales » alors que certain apprenti monsieur météo-bigot exerçant sur une chaine confidentielle appelée Skyfall s'obstine à voir uniquement des AMP à la manœuvre !
Mais que disait-il déjà notre monsieur météo-charlot ? Ah oui, ceci :
Allez, un petit dernier pour la route :
Messieurs Antoine et le Rouméliote nous copieront cent fois cette phrase qu'ils n'ont de toute évidence pas encore bien assimilée.
Et pour bien illustrer cette sentence, voici une carte leur montrant que les anticyclones qui viennent du nord ne se mélangent pas avec ceux qui viennent du sud :
Et pour enfoncer le clou :
C'est évidemment la même chose que l'on peut voir sur le site éducatif meted.ucar.edu et que l'on enseigne partout dans le monde dans toutes les bonnes écoles et universités.
Quant aux AMP, ils sont mort-nés avec le passage éphémère sur Terre de leur inventeur, un certain Marcel Leroux que certains vénèrent toujours comme un dieu.
Voici ce que l'on peut lire chez qui-vous-savez :
4110. Le Rouméliote | 28/10/2019 @ 12:22L'« ignare de cette trempe » c'est bibi, je prends donc cela pour un compliment, à défaut de médaille, venant de quelqu'un comme monsieur le Rouméliote (vous savez, passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet)
AntonioSan (#4109), J’admire votre patience pour tenter d’expliquer les AMP à un ignare de cette trempe !
Ce commentaire venait à la suite de celui de notre commissaire chéri, j'ai nommé monsieur Antoine :
4109. AntonioSan | 27/10/2019 @ 18:17On ne va pas dépiauter tout ce fatras qui ne sert qu'à rassurer les gros benêts tels que le Rouméliote sur les capacités supposées du monsieur météo local spécialiste ès AMP, nous allons nous focaliser sur la première partie seulement, car elle vaut à elle seule le détour.
AntonioSan (#4107), AntonioSan (#4108),
Et le batracien n’a jamais tort…
Et non je ne confonds pas les pressions avec les vents, mais monsieur Antoine n’a pas compris qu’il y a une relation entre les deux, c’est quand même ballot de la part de quelqu’un qui, lui, se targue de donner des leçons de météo en fourguant à chaque fois ses AMP sortis de son imagination.
Strawman. Les animations satellites sont sans doute sorties de mon imagination… Voici un AMP de 1027hPa sur le Pacifique nord entouré de ses deux dépressions associées, en face avant et en face arrière
https://weather.gc.ca/data/satellite/goes_pac_1070_m_2019@10@27_15h30m.jpg
https://climatereanalyzer.org/wx_frames/gfs/ds/gfs_nh-sat4_t2anom_1-day.png
https://climatereanalyzer.org/wx_frames/gfs/ds/gfs_nh-sat4_mslp_1-day.png
Evidemment aucune réponse de sa part concernant mes interrogations (pourquoi associer un creux à des hautes pressions ?)
Pourquoi répondre à quelqu’un qui continue de confondre une carte de l’altitude du niveau 500 hPa avec une carte de pressions atmosphériques… Faut dire qu’avec son anticyclone… à 250 hPa… ROTFLOL
Alors qu’il s’agit d’un anticyclone de 1041 hPa ce matin sur la côte ouest… et 1042 sur l’ouest nord-américain où il ne fait pas chaud… https://climatereanalyzer.org/wx_frames/gfs/ds/gfs_nh-sat1_t2min_1-day.png
https://weather.gc.ca/data/analysis/951_100.gif
Bref l’appât a fonctionné, mon billet était en grande partie destiné à le faire réagir
et en même temps à mettre en avant le fait que ni Mass ni lui n’auront l’idée de lier l’intensité des feux actuels en Californie au réchauffement climatique. Mission accomplie de ma part…
Mission accomplie ? Ca me rappelle un certain GW et le moins qu’on puisse dire c’est que rien de très beau ne fut accompli…
Bon, laissons Cliff Mass parler:
https://cliffmass.blogspot.com/2018/08/california-wildfires-is-global-warming.html
https://cliffmass.blogspot.com/2018/09/is-global-warming-significant.html
https://cliffmass.blogspot.com/2018/11/strong-diablosanta-ana-wind-initiate.html
https://cliffmass.blogspot.com/2018/11/why-did-catastrophic-camp-fire-start.html
https://cliffmass.blogspot.com/2018/11/finally-heavy-rain-wind-and-snow-headed.html
https://cliffmass.blogspot.com/2018/11/was-global-warming-significant-factor.html
mais mon petit doigt me dit…
Vu d’où il vient de le retirer pour y mettre un cierge à Ste Greta…
Monsieur Antoine tient à tout prix à montrer à ses lecteurs adorés des cartes censées appuyer ses dires ; les deux premiers liens qu'il donne ne disent rien du tout de ce qu'il affirme, la preuve :
Lien https://weather.gc.ca/data/satellite/goes_pac_1070_m_2019@10@27_15h30m.jpg |
Lien https://climatereanalyzer.org/wx_frames/gfs/ds/gfs_nh-sat4_t2anom_1-day.png |
Aves ces deux cartes balancées sans aucune explications monsieur Antoine croit que ses lecteurs auront compris de quoi il retourne, si vous êtes dans ce cas alors c'est que vous êtes un expert en météorologie avec spécialisation en divination (les tarots sont des cartes après tout) mais la troisième carte risque de tout foutre en l'air :
Lien https://climatereanalyzer.org/wx_frames/gfs/ds/gfs_nh-sat4_mslp_1-day.png |
Là c'est un peu plus clair, mais pas vraiment à l'avantage de monsieur Antoine ! Il nous dit en effet :
Voici un AMP de 1027hPa sur le Pacifique nord entouré de ses deux dépressions associées, en face avant et en face arrière.Le soi-disant AMP de 1027hPa est clairement visible sur la gauche, alors jouons si vous le voulez bien à un petit jeu très facile, utilisons notre site favori et regardons ce qu'il en est de ce fameux AMP de 1027hPa :
Régime des vents à l'altitude de 10 500 mètres, correspondant à une pression de 250hPa. |
J'ai essayé de positionner le rond vert à peu près où se situe notre AMP ; on remarquera qu'il est juste sous la crête barométrique (ridge) du jet-stream et qu'un autre anticyclone est situé plus à l'est et au nord sous une autre crête qui remonte bien plus au nord ; et quand on regarde la carte météo de monsieur Antoine on voit bien cet autre anticyclone qui est encore plus marqué (la pression n'est pas indiquée mais on comprend qu'elle est bien supérieure aux 1027hPa du premier « AMP »)
Plus à l'est encore on distingue nettement un creux barométrique (trough) au-dessus du nord américain, et cela correspond assez bien aux zones de basses pressions mentionnées sur la carte de monsieur Antoine.
Or monsieur Antoine prétend que ce qui se passe à 10 500 mètres d'altitude n'a rien à voir avec ce que nous éprouvons à la surface, bizarre non ? Surtout si l'on regarde maintenant la même carte mais avec les données de surface :
Régime des vents à la surface. |
De la même façon on constate qu'il y a bien un anticyclone situé approximativement au même endroit, près des côtes américaines, que la crête barométrique nettement visible sur la carte montrant le jet-stream à 10 500 mètres d'altitude !
Mais il y a encore plus fort, si c'est possible (mais oui c'est possible, avec monsieur Antoine tout est possible)
Le fameux (ou fumeux, c'est comme vous voudrez) AMP que croit avoir vu monsieur Antoine est donc situé au sud du jet-stream, cette barrière infranchissable entre les masses d'air froid polaire et celles plus chaudes venant du sud ! Ainsi ce que monsieur Antoine a pris pour un anticyclone provenant du pôle nord est en fait un anticyclone généré très probablement à la frontière entre les cellules de Hadley et de Ferrel :
Les différentes cellules schématisées composant la circulation atmosphérique (source eoas) |
Ces anticyclones se forment généralement à la latitude 30° (nord et sud) alors que les anticyclones d'origine polaire, que monsieur Antoine appelle des AMP, se créent évidement au-dessus des pôles en se dirigent obligatoirement vers l'équateur (où donc pourraient-ils aller ailleurs ?) pour finalement se heurter à la barrière infranchissable pour eux que constitue le long ruban du jet-stream.
Voici ce que l'on peut lire dans le livre Climats passé présent futur page 47 :
La cellule polaire […] les masses d'air […] très froides et très denses […] sont confinées dans les basses couches de l'atmosphère, formant une zone de haute pression aux très hautes latitudes. L'air froid s'écoule dans la basse troposphère vers une zone de basse pression située en général à des latitudes plus basses. Là, il rencontre de l'air plus chaud, donnant naissances aux tempêtes le long du front polaire, vers les latitudes 50-60°. A ce point le circuit se referme en partie et l'air ascendant des régions dépressionnaires alimente la zone polaire de haute pression.De ces explications on comprend que les hautes pressions qui descendent du pôle nord sont bloquées au niveau du front polaire, lequel constitue une barrière infranchissable (c'est essentiellement une zone de basses pressions) ; de la même façon les anticyclones générés au sud (à 30°) ne peuvent pas remonter très haut et s'approcher des pôles, sauf quand le jet-stream s'affaiblit considérablement et montre des boucles très prononcées, ce qui provoque des remontées d'air chaud aux hautes latitudes mais également des descentes d'air froid aux basses latitudes (les nôtres par exemple).
Pour appuyer ce que je dis, hormis le livre déjà cité nous avons Wikipédia (c'est moi qui souligne en rouge) :
Les courants-jets sont qualifiés de « rivières », de « rubans » empruntant un trajet courbe et sinueux dans lesquels circule un grand flux d'air rapide. Ils jouent un rôle majeur dans la circulation atmosphérique puisque ceux-ci marquent la limite entre deux masses d'air distinctes qui ne peuvent se mélanger. Ils participent ainsi à la cyclogénèse des systèmes météorologiques des latitudes moyennes (anticyclones et dépressions) se déplaçant ensuite sous ces courants d'air puissants.Plusieurs sites expliquent le fonctionnement du jet-stream, impossible de tous les citer, mais ils racontent tous la même histoire qui, bizarrement, ne colle pas avec la fable des AMP ; ainsi, pour réfuter l'assertion de monsieur Antoine selon laquelle il n'y aurait pas d'anticyclone au niveau du jet-stream, cet article nous dit :
Bends in the polar jet create troughs and ridges. When two fluid media are moving in different directions near one another, turbulence forms between them. The air will start to rotate in a counterclockwise direction as air moves down and then up in the trough of the jet stream, which will form a cyclone. The air will start to move in a clockwise direction as the air moves up and over a ridge in the jet stream, which will form an anticyclone.
Les courbures du jet polaire créent des creux et des crêtes. Lorsque deux fluides se déplacent dans des directions différentes à proximité l'un de l'autre, des turbulences se forment entre eux. L'air commencera à tourner dans le sens inverse des aiguilles d'une montre lorsque l'air descendra, puis remontera dans le creux du courant-jet, qui formera un cyclone. L'air commencera à se déplacer dans le sens des aiguilles d'une montre lorsque l'air remontera et franchira une crête dans le courant-jet, qui formera un anticyclone.
Cyclones et anticyclones séparés par le jet-stream. |
On voit bien qu'au niveau du jet-stream, à 10-11 kilomètres d'altitude, on parle bien de cyclones et d'anticyclones, bizarre non ?
Un autre site éducatif nous explique ceci :
Jet streams are fast flowing, narrow bands of wind in the upper atmosphere that circle their way around the globe. The two major jet streams form where air masses of different temperatures converge. The greater the difference in temperature, the stronger the winds. The jet stream that forms near 60° latitude is called the polar jet stream, while the one that forms at the poleward limit of the Hadley cell is called the subtropical jet stream.
Les courants-jets sont des bandes de vent étroites et rapides dans la haute atmosphère qui tournent autour du globe. Les deux principaux courants jets se forment là où convergent des masses d'air de températures différentes. Plus la différence de température est grande, plus les vents sont forts. Le courant-jet qui se forme près de 60° de latitude est appelé courant-jet polaire, tandis que celui qui se forme à la limite polaire de la cellule de Hadley est appelé courant-jet subtropical.
Jet streams have a strong influence on local weather because mid-latitude cyclones (surface Lows and their fronts and bad weather) are created on the east side of jet-stream troughs (about halfway between the trough axis and the ridge, see Figure below). Weather forecasters often use the location of the jet streams and their troughs and ridges to predict weather. For instance, a jet-stream trough (low pressure) just west of your location is often associated with a Low at your location, with locally bad weather (clouds, precipitation, strong winds often from south-east through south-west).
Les courants-jets ont une forte influence sur les conditions météorologiques locales parce que les cyclones de latitudes moyennes (dépressions de surface et leurs fronts et mauvaises conditions météorologiques) se forment du côté est des creux des courants-jets (environ à mi-chemin entre l'axe du creux et la crête, voir figure ci-dessous). Les prévisionnistes météorologiques se servent souvent de l'emplacement des courants-jets, de leurs creux et de leurs crêtes pour prévoir le temps. Par exemple, un creux de courant-jet (basse pression) juste à l'ouest de votre emplacement est souvent associé à une dépression à votre emplacement, avec localement du mauvais temps (nuages, précipitations, vents forts souvent du sud-est au sud-ouest).
Curieux n'est-ce pas comme le jet-stream peut être considéré par les météorologues (les vrais) comme pouvant avoir « une forte influence sur les conditions météorologiques locales » alors que certain apprenti monsieur météo-bigot exerçant sur une chaine confidentielle appelée Skyfall s'obstine à voir uniquement des AMP à la manœuvre !
Mais que disait-il déjà notre monsieur météo-charlot ? Ah oui, ceci :
Faut dire qu’avec son anticyclone… à 250 hPa… ROTFLOLJe me roule par terre en me bidonnant, pas vous ?
Allez, un petit dernier pour la route :
In the mid-latitudes (IN BOTH HEMISPHERES), winds generally blow from W-E, and storms usually track from west to east. The Jet stream is what guides these storms (cyclones and anticyclones) through the mid-latitudes. Also, all the weather we have at the surface is due to the distribution of winds aloft. The jet stream plays the most important role in the development of surface high and low-pressure systems.
Répétons à l'attention de tous les messieurs apprentis météo désirant expliquer les mystères du temps qu'il fait au ras des pâquerettes : « Le jet stream joue le rôle le plus important dans le développement des systèmes de haute et basse pression de surface. »Dans les latitudes moyennes (DANS LES DEUX HEMISPHÈRES), les vents soufflent généralement d'ouest en est et les tempêtes se déplacent habituellement d'ouest en est. Le courant-jet est ce qui guide ces tempêtes (cyclones et anticyclones) à travers les latitudes moyennes. De plus, tout le temps que nous avons à la surface est dû à la répartition des vents en altitude. Le jet stream joue le rôle le plus important dans le développement des systèmes de haute et basse pression de surface.
Messieurs Antoine et le Rouméliote nous copieront cent fois cette phrase qu'ils n'ont de toute évidence pas encore bien assimilée.
Et pour bien illustrer cette sentence, voici une carte leur montrant que les anticyclones qui viennent du nord ne se mélangent pas avec ceux qui viennent du sud :
Les différents régimes de vents en relation avec les cellules atmosphériques ; les anticyclones générés aux pôles se heurtent au front polaire (source atmos.illinois.edu) |
Et pour enfoncer le clou :
Coupe verticale montrant les différentes cellules depuis l'équateur jusqu'aux pôles (source atmos.illinois.edu) |
C'est évidemment la même chose que l'on peut voir sur le site éducatif meted.ucar.edu et que l'on enseigne partout dans le monde dans toutes les bonnes écoles et universités.
Quant aux AMP, ils sont mort-nés avec le passage éphémère sur Terre de leur inventeur, un certain Marcel Leroux que certains vénèrent toujours comme un dieu.
Commentaire du monsieur météo-pizzaiolo ici http://www.skyfall.fr/2018/01/01/bistrot-coin-2018/#comment-270769 : « Il se fend d’un nouveau long billet, rien que pour recycler les poncifs éculés… Ce n’est plus de l’amour, c’est de la rage… ROTFLOL
RépondreSupprimerP.S.: sa mauvaise foi lui fait oublier que les images sont actualisées… Et donc a part le satellite du 27 octobre les images de Climatereanalyzer sont du 28 octobre et donc correspondent a l’evolution du systeme décrit. »
Des poncifs éculés...tout ce que l'on apprend aujourd'hui et dont on se sert pour les prévisions météo ne seraient que des poncifs éculés alors que ses AMP sont depuis longtemps oubliés !
Qu'est-ce qu'on se bidonne avec cet artiste !