Benoit Rittaud, en bon samaritain qu'il est, prend la défense de deux causes perdues, à savoir Susan Crockford (je vous en dirai plus sur elle bientôt) et Peter Ridd (voir La parole aux bannis, épisode 2 : Peter Ridd si vous avez du temps à perdre)
Ce dernier est un physicien qui a été viré de l'Université James Cook où il enseignait, j'imagine la physique, mais le motif de son licenciement est lié à ses prises de position sur...la Grande Barrière de corail qui borde les côtes est de son pays !
On peut a priori se demander si un physicien est légitime pour avoir une opinion sur quelque chose qui concerne la biologie marine et l'océanographie, deux domaines dans lesquels sa compétence reste à prouver si l'on en croit Google Scholar ; en effet ses études portent sur la mangrove, les sédiments apportés par les rivières ou d'autres choses dans le même style, mais rien sur le climat global et bien entendu rien sur les effets du réchauffement climatique, ce qui est normal puisque Peter Ridd non seulement n'est pas climatologue mais de plus nie tout effet du réchauffement climatique sur l'état des coraux.
En fait selon Desmogblog ses compétences résideraient en « coastal oceanography, the effects of sediments on coral reefs, instrument development, geophysical sensing of the earth, past and future climates, atmospheric modelling » (océanographie côtière, effets des sédiments sur les récifs coralliens, développement d'instruments, détection géophysique de la terre, climats passés et futurs, modélisation atmosphérique), mais on reste sceptique sur ses qualités quand on remarque qu'il n'est par exemple pas du tout cité dans les études de Terry Hughes, un véritable spécialiste en biologie marine, ce que n'est pas du tout Peter Ridd.
Or Terry Hughes est lui-même professeur à l'Université James Cook, la même université qui a licencié Peter Ridd, et on comprend un peu pourquoi !
Terry Hughes est l'auteur de nombreux papiers concernant la Grande Barrière, par exemple :
Dans le dernier papier cité voici les organismes d'appartenance des différents auteurs :
Pour comprendre un peu plus ce qui se passe il suffit de savoir que Peter Ridd a bien évidemment reçu le soutien du site WUWT qui dans An Ecologist’s Plea to Dr. Terry Hughes: The Public Needs Robust Science Regards Coral Bleaching, Not Fearmongering!, sous la plume d'un véritable négationniste climatique en la personne de Jim Steele, nous dit notamment ceci :
En regardant le dernier papier de Hugues et en recherchant le mot « local » on trouve pas moins de 10 occurrences ; par exemple il est fait mention de « deux cyclones locaux » et une des références cite
On pourra m'objecter que l'article de Jim Steele date de 2017 alors que le papier de Hughes où j'ai repéré les 10 occurrences du mot « local » date lui de 2019, mais le papier auquel fait référence Steele est derrière un paywall, cependant même sur la page donnant le résumé on peut trouver pas moins de 4 occurrences du mot « local » ! Par exemple dans les références citées :
Sans (trop de) surprises Peter Ridd a reçu le support de l'IPA, un groupe qui proclame en toutes lettres
Pas de surprise non plus de voir Jennifer Marohasy dans la boucle, celle-ci se faisant fort de prouver à la Terre entière qu'une nouvelle « théorie du climat » existe avec le bouquin qu'elle édite (certainement pas sur ses deniers personnels si vous voulez mon avis) ; Marohasy a en effet, en plus de son titre de Directrice Environnement à l'IPA, été embauchée par Ridd pour être présidente de l'AEF, une organisation « charitable » dont le but est de « protéger l'environnement, tout en préservant la primauté du droit, les droits de propriété et la liberté de l'individu », ce que l'on traduit aisément pas « préserver la liberté de faire n'importe quoi » afin de résumer en peu de mots l'objectif réel de tous ces personnages à la botte des industriels locaux.
Mais pour Benoit Rittaud
On ne retiendra de l'intervention de Peter Ridd relatée par son fidèle serviteur Benoit Rittaud que
En attendant le site coralreefwatch de la NOAA nous donne les indications du blanchiment des coraux à différents horizons :
Donc aujourd'hui la Grande Barrière n'est pas concernée, mais...
ici.
On voit que la Grande Barrière est en situation « warning », autrement dit en simple alerte, les niveaux d'alerte plus élevés concernant d'autres étendues maritimes essentiellement situées dans le Pacifique. Mais...
Nous avons donc ici la situation passée concernant la période juin 2014-mai 2017, et l'on voit très nettement que la Grande Barrière se situait en niveau d'alerte 1 ou 2 ; étant donnée le caractère global du phénomène, difficile de prétendre que ce qui a touché la Grande Barrière n'était qu'un phénomène local...
On se souviendra que les années 2015, 2016 et 2017 ont été les plus chaudes jamais enregistrées, une coincidence ? Peut-être pas, mais pour Rittaud et sa clique il ne fait aucun doute que cela n'a strictement aucun rapport avec la santé des coraux, c'est bien pour cela qu'ils ont invité Peter Ridd, pour s'en persuader davantage !
Ce dernier est un physicien qui a été viré de l'Université James Cook où il enseignait, j'imagine la physique, mais le motif de son licenciement est lié à ses prises de position sur...la Grande Barrière de corail qui borde les côtes est de son pays !
On peut a priori se demander si un physicien est légitime pour avoir une opinion sur quelque chose qui concerne la biologie marine et l'océanographie, deux domaines dans lesquels sa compétence reste à prouver si l'on en croit Google Scholar ; en effet ses études portent sur la mangrove, les sédiments apportés par les rivières ou d'autres choses dans le même style, mais rien sur le climat global et bien entendu rien sur les effets du réchauffement climatique, ce qui est normal puisque Peter Ridd non seulement n'est pas climatologue mais de plus nie tout effet du réchauffement climatique sur l'état des coraux.
En fait selon Desmogblog ses compétences résideraient en « coastal oceanography, the effects of sediments on coral reefs, instrument development, geophysical sensing of the earth, past and future climates, atmospheric modelling » (océanographie côtière, effets des sédiments sur les récifs coralliens, développement d'instruments, détection géophysique de la terre, climats passés et futurs, modélisation atmosphérique), mais on reste sceptique sur ses qualités quand on remarque qu'il n'est par exemple pas du tout cité dans les études de Terry Hughes, un véritable spécialiste en biologie marine, ce que n'est pas du tout Peter Ridd.
Or Terry Hughes est lui-même professeur à l'Université James Cook, la même université qui a licencié Peter Ridd, et on comprend un peu pourquoi !
Terry Hughes est l'auteur de nombreux papiers concernant la Grande Barrière, par exemple :
- le 15/03/2017 : Global warming and recurrent mass bleaching of corals (il est auteur principal en compagnie...de 45 co-auteurs !)
- le 9/08/2017 : Global warming and bleaching of coral reefs (idem que ci-dessus)
- le 18/04/2019 : Global warming impacts stock-recruitment dynamics of corals (principal auteur accompagné d'une quinzaine de co-auteurs)
1Australian Research Council Centre of Excellence for Coral Reef Studies, James Cook University, Townsville, Queensland, Australia. 2College of Science and Engineering, James Cook University, Townsville, Queensland, Australia. 3Eco-Logical, Brisbane, Queensland, Australia. 4Hawai‘i Institute of Marine Biology, University of Hawai‘i, Kaneohe, HI, USA. 5Department of Biological Sciences, Macquarie University, Sydney, New South Wales, Australia. 6Murray-Darling Basin Authority, Canberra City, Australian Capital Territory, Australia. 7Australian Institute of Marine Science, Townsville, Queensland, Australia.Comme on peut facilement le constater tous les auteurs appartiennent à des organismes compétents et donc légitimes pour donner des résultats et émettre des opinions fortement argumentées en relation avec le sort des coraux face aux contraintes qu'ils ont à subir ; l'Université James Cook est largement représentée avec pas moins de 13 co-auteurs, dont aucun évidemment ne s'appelle Peter Ridd ! Celui-ci n'est même jamais cité, ses travaux sont donc totalement ignorés par les chercheurs, on peut alors comprendre le ressentiment d'un homme qui doit se croire (peut-être à très juste raison) mis sur la touche pour ses idées iconoclastes.
Pour comprendre un peu plus ce qui se passe il suffit de savoir que Peter Ridd a bien évidemment reçu le soutien du site WUWT qui dans An Ecologist’s Plea to Dr. Terry Hughes: The Public Needs Robust Science Regards Coral Bleaching, Not Fearmongering!, sous la plume d'un véritable négationniste climatique en la personne de Jim Steele, nous dit notamment ceci :
[…] Uncritically blaming global warming, is bad science. Organisms are only affected by local conditions, not a chimeric global average. Believing global warming accounts for everything, Hughes failed to see the critical natural factors that locally drove the Great Barrier Reef 2016 bleaching event.
Nous voyons ici à l'oeuvre la mécanique du climatonégationnisme dans toute sa splendeur ; comme si toute l'équipe de Terry Hugues (et cela en fait du monde) était composée de crétins congénitaux incapables de voir les éventuelles conditions locales ayant influencé le sort des coraux de la Grande Barrière ; comme si Terry Hugues et son équipe étaient partis du postulat que seul le réchauffement global était en cause sans tenir aucun compte des conditions locales ![…] Blâmer sans critique le réchauffement climatique est de la mauvaise science. Les organismes ne sont affectés que par les conditions locales et non par une moyenne globale chimérique. Croyant que le réchauffement climatique est responsable de tout, Hughes n'a pas vu les facteurs naturels critiques qui ont été à l'origine du blanchissement de la Grande Barrière de Corail en 2016.
En regardant le dernier papier de Hugues et en recherchant le mot « local » on trouve pas moins de 10 occurrences ; par exemple il est fait mention de « deux cyclones locaux » et une des références cite
19. Figueiredo, J., Baird, A. H. & Connolly, S. R. Increased local retention of reef coral larvae as a result of ocean warming. Nat. Clim. Change 4, 498–502 (2014)Ainsi les conditions locales paraissent avoir bien été prises en considération, contrairement à ce qu'essaie de nous faire croire Jim Steele.
On pourra m'objecter que l'article de Jim Steele date de 2017 alors que le papier de Hughes où j'ai repéré les 10 occurrences du mot « local » date lui de 2019, mais le papier auquel fait référence Steele est derrière un paywall, cependant même sur la page donnant le résumé on peut trouver pas moins de 4 occurrences du mot « local » ! Par exemple dans les références citées :
10. Leahy, S. M., Kingsford, M. J. & Steinberg, C. R. Do clouds save the great barrier reef? Satellite imagery elucidates the cloud-SST relationship at the local scale. PLoS One 8, e70400 (2013)
25. van Hooidonk, R. et al. Local-scale projections of coral reef futures and implications of the Paris Agreement. Sci. Rep. 6, 39666 (2016)Et dans les lectures additionnelles :
Variable interaction outcomes of local disturbance and El Niño-induced heat stress on coral microbiome alpha and beta diversityIl est bien évident que les chercheurs (je parle bien sûr de Terry Hughes et son équipe) ont tenu compte des conditions locales, mais qu'ils ne pouvaient évidemment pas passer sous silence les effets du réchauffement climatique qui embarrassent tellement des gens comme Jim Steele, Anthony Watts ou Peter Ridd, ainsi qu'un benêt suiveur tel que Benoit Rittaud qui donne la parole à ce dernier comme s'il s'agissait d'un martyr de la cause climato-irréaliste.
Jamie M. McDevitt-Irwin
, Melissa Garren […] Julia K. Baum Coral Reefs (2019)
Sans (trop de) surprises Peter Ridd a reçu le support de l'IPA, un groupe qui proclame en toutes lettres
The Institute of Public Affairs is an independent, non-profit public policy think tank, dedicated to preserving and strengthening the foundations of economic and political freedom.
La « liberté économique » commande notamment que les industriels peuvent faire ce qu'ils veulent sans aucune contrainte administrative, c'est clairement indiqué ici :L'Institut des Affaires Publiques est un groupe de réflexion indépendant et sans but lucratif sur les politiques publiques, qui se consacre à la préservation et au renforcement des fondements de la liberté économique et politique.
The IPA supports the free market of ideas, the free flow of capital, a limited and efficient government, evidence-based public policy, the rule of law, and representative democracy. Throughout human history, these ideas have proven themselves to be the most dynamic, liberating and exciting. Our researchers apply these ideas to the public policy questions which matter today.
Tout le monde a bien compris que pour l'IPA les réglementations pouvant concerner la lutte contre le réchauffement climatique ne sont que des entraves à « la libre circulation des capitaux » et c'est bien pour cela que Peter Ridd a reçu l'appui amical de cet organisme chargé d'apporter le bonheur au peuple australien ; ce groupe a donc financé Peter Ridd afin de lui payer tous ses frais de justice contre l'Université James Cook qui n'avait pas les moyens de lutter financièrement et a dû s'incliner.L'IPA soutient le libre marché des idées, la libre circulation des capitaux, un gouvernement limité et efficace, une politique publique fondée sur des preuves, la primauté du droit et la démocratie représentative. Tout au long de l'histoire de l'humanité, ces idées se sont révélées être les plus dynamiques, libératrices et passionnantes. Nos chercheurs appliquent ces idées aux questions de politique publique qui comptent aujourd'hui.
Pas de surprise non plus de voir Jennifer Marohasy dans la boucle, celle-ci se faisant fort de prouver à la Terre entière qu'une nouvelle « théorie du climat » existe avec le bouquin qu'elle édite (certainement pas sur ses deniers personnels si vous voulez mon avis) ; Marohasy a en effet, en plus de son titre de Directrice Environnement à l'IPA, été embauchée par Ridd pour être présidente de l'AEF, une organisation « charitable » dont le but est de « protéger l'environnement, tout en préservant la primauté du droit, les droits de propriété et la liberté de l'individu », ce que l'on traduit aisément pas « préserver la liberté de faire n'importe quoi » afin de résumer en peu de mots l'objectif réel de tous ces personnages à la botte des industriels locaux.
Mais pour Benoit Rittaud
Peter Ridd est, avec Susan Crockford, l’autre scientifique récemment banni de son université pour avoir exprimé un avis politiquement incorrect sur la situation d’une espèce animale emblématique de la soi-disant « crise climatique » : la Grande Barrière de Corail.Il trouve que les interventions de Ridd sont « dévastatrices », on ne saurait mieux dire tellement elles ne font que montrer ce que nous savons déjà, que tous ces messieurs, pour la plupart au crâne dégarni ou parsemé de rares cheveux blancs et ayant étudié un peu de science dans les années 1950-60 pour ensuite occuper diverses fonctions dans l'industrie, appartiennent au passé dans lequel ils restent englués ; mais comment leur en vouloir quand on sait que toute leur vie a été dédiée aux dieux du pétrole, du charbon ou du gaz, il est alors difficile quand on regarde en arrière de renier tout ce qui a empli son garde-manger, on ne mord pas la main qui vous a si généreusement nourri, on la lèche sans se lasser en se remémorant le bon vieux temps où l'on ne discutait pas du réchauffement de la planète.
On ne retiendra de l'intervention de Peter Ridd relatée par son fidèle serviteur Benoit Rittaud que
La Grande Barrière de Corail, ce joyau de l’Océan, va bien.Circulez braves gens, il n'y a pas à s'inquiéter outre mesure, on vous dit qu'elle va bien, alors croyez-le nom d'un chien !
En attendant le site coralreefwatch de la NOAA nous donne les indications du blanchiment des coraux à différents horizons :
Régions qui connaissent actuellement des niveaux élevés de stress thermique qui peuvent causer le blanchiment et la mortalité des coraux. |
Donc aujourd'hui la Grande Barrière n'est pas concernée, mais...
ici.
On voit que la Grande Barrière est en situation « warning », autrement dit en simple alerte, les niveaux d'alerte plus élevés concernant d'autres étendues maritimes essentiellement situées dans le Pacifique. Mais...
Nous avons donc ici la situation passée concernant la période juin 2014-mai 2017, et l'on voit très nettement que la Grande Barrière se situait en niveau d'alerte 1 ou 2 ; étant donnée le caractère global du phénomène, difficile de prétendre que ce qui a touché la Grande Barrière n'était qu'un phénomène local...
On se souviendra que les années 2015, 2016 et 2017 ont été les plus chaudes jamais enregistrées, une coincidence ? Peut-être pas, mais pour Rittaud et sa clique il ne fait aucun doute que cela n'a strictement aucun rapport avec la santé des coraux, c'est bien pour cela qu'ils ont invité Peter Ridd, pour s'en persuader davantage !
Comment se construit le cerveau d'un climato-irréaliste (ici celui de Benoit Rittaud en cours de formation) |
Le grand météorologue en chef des climato-gogos-irréalistes n'en perd pas une miette de ce que j'écris, à croire que je n'écris que pour lui !
RépondreSupprimerVoici ce qu'il nous pond ici http://www.skyfall.fr/2018/01/01/bistrot-coin-2018/#comment-270269 après avoir cité un court extrait de mon billet en ignorant tout le reste : « On peut a priori se demander si un prétendu comptable est légitime pour avoir une opinion sur quelque chose qui concerne la biologie marine et l’océanographie, deux domaines dans lesquels sa compétence reste à prouver. »
Je lui répondrai que le « prétendu comptable » est capable, lui, de constater ce que monsieur météo-pour-les-nuls n'est pas fichu de voir, à savoir qu'un véritable spécialiste en biologie marine a produit plusieurs papiers sans jamais citer une seule fois celui qui prétend, contre le reste du monde scientifique, que les coraux se portent bien ; le « prétendu comptable » est capable de constater avec les données consultées sur le site de la NOAA que le blanchiment des coraux a bien été un phénomène général et non local durant les années 2014-2017, années qui ont été les plus chaudes jamais enregistrées avec 2015-2016-2017 dans le trio de tête, et que par conséquent avec le réchauffement climatique que monsieur météo-pour-gogos continue à nier les choses ne peuvent qu'empirer dans le futur.
Il a pour soutien indéfectible un des habituels guignols qui parade sur Skyfall en croyant voir une paille dans mon oeil alors qu'il se traine une poutre dans le sien (il a des appétences créationnistes, ce qui avait scandalisé un autre guignol du nom de Murps) ; voici ce que scaletrans dit à mon sujet en se décrivant lui-même à la perfection : « Le Têtard mouillé continue à creuser. Justement je viens de lire quelque chose sur le syndrome de Dunning-Kruger… et la confiance en eux des incompétents. »
C'est ahurissant de lucidité involontaire !
Il y a des jours où je plains Benoit Rittaud. Non seulement la liste de ses béni-oui-oui (tous plus décérébrés les uns que les autres) s'allonge comme un jour sans pain, mais lui même ne trouve plus deux phrases intelligentes à dire si ce n'est pour sauver l'insauvable.
RépondreSupprimerPlus le temps passe, plus je doute de son QI et plus je me demande comment il a pu être recruté comme maître de conférence ...
Etre climato-crétin pourquoi pas mais il va se retrouver bien seul dans 10 ou 20 ans.
Bref, j'ai cherché, cherché et cherché encore sur la toile si quelqu'un parlait quelque part de cette extraordinaire "klimarealistenes konference oslo 2019" qui allait révolutionner le monde ; faire enfin tomber les masques ; dénoncer cette escroquerie du CO2 ... rien, on ne trouve rien.
A si. Ces quelques photos.
https://klimarealisme.dk/2019/10/22/klimakonference-i-oslo-okt-2019/
J'aime particulièrement celle-ci https://klimarealisme.dk/wp-content/gallery/oslo2019/20191018_114916.jpg
ou celle-ci https://twitter.com/KRmgr1/status/1187776948363300865
170 participants (selon les organisateurs) pour un évènement mondial !!!???
Ca s’appelle un flop non ?
Il ne faut pas plaindre Rittaud, il adore qu'on lui lèche la main, les bottes ou autre chose que ma bonne éducation m'empêche de nommer.
SupprimerLe QI de Rittaud doit avoisiner celui de Laurent Alexandre et moi aussi je me demande comment un gars pareil peut enseigner, ça fait peur pour ses étudiants et on compatit avec eux.
Pour la réunion entre copains qu'ils appellent pompeusement conférence effectivement c'est un flop majestueux comme eux seuls savent en fabriquer.
Le mois dernier,Benoit Rittaud a publié sur son site le contenu d'une lettre que lui aurait envoyé un lycéen climatosceptique de 15 ans. https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2019/09/27/tous-les-jeunes-ne-sont-pas-greta/ La qualité de rédaction était telle que je me suis demandé si ce n'était pas Benoit Rittaud lui même le véritable auteur de cette soi disante lettre. Vous qui le connaissez un peu, pensez-vous qu'il serait capable de produire des faux pour donner l'illusion que le climatoscepticisme est plus répandu qu'on ne le pense au sein de la jeunesse ? Si effectivement c'est le cas , ca dépasse tout ce qu'on peut imaginer au sujet de la tartuferie du personnage.
RépondreSupprimerJe ne pense pas que Rittaud soit assez con pour avoir inventé cette lettre d'un lycéen, je pense plutôt qu'il y a des lycéens assez cons pour produire ce genre de lettre, et le fait qu'elle soit bien écrite ne m'étonne pas outre mesure, il y a des lycéens bien éduqués mais à 15 ans on peut être un parfait imbécile en croyant des types comme Rittaud qui lui-même croit des types comme Monckton ou Singer.
SupprimerJe pense que Rittaud a dû lui-aussi être un jeune ado studieux bien élevé et faisant ses devoirs consciencieusement pour avoir les meilleures notes, mais cela ne permet pas forcément au cerveau de se développer harmonieusement, il nous en donne très régulièrement la preuve.