dimanche 1 avril 2018

Benoit Rittaud et François Gervais reçoivent le prix Nobel d'information scientifique

C'est une nouvelle époustouflante qui vient de nous arriver tout droit du Comité pour la Vérité Vraie des Faits Avérés (le CVVFA), nos deux illustres théoriciens François Rittaud et Benoit Gervais viennent de se voir à l'unanimité (moins les voix de ceux qui étaient contre mais qui ont été fus...., qui ont démissionné et se sont pendus peu après) décerner le prix Goebbels, encore appelé le Nobel d'information scientifique, dans le domaine de la pata-Physique.

Donald Trump, un autre titulaire du même prix Goebbels, qu'il a obtenu haut la main (ou plutôt le doigt qu'il utilise assez fréquemment pour divers usages) en 2016 dans la catégorie de l'âpre-Paix (bien veiller à placer le r au bon endroit...), a tenu à congratuler chaleureusement nos deux récipiendaires, se référant aux valeurs éternelles léguées par celui qui donna son nom à ce prix remarquable.

Le titulaire du prix de l'âpre-Paix, à droite ou à gauche, on ne sait plus trop bien, félicitant d'un commun accord avec son double les deux colauréats du prix 2018 de pata-Physique.

Nous sommes toujours dans l'attente de la désignation du lauréat du prix Goebbels de l'âpre-Paix pour l'année 2018, qui devrait normalement revenir à Drieu Godefridi (le lointain descendant d'Alfonse Gode-Michet, l'inventeur de la machine à pénétrer le culte de la personne alitée) pour ses indispensables travaux sur l'ignominie que représente le fonctionnement du GIEC, ce repaire d'écolo-communistes cherchant à dominer le monde et la commune ariégeoise du Carla-Bayle  ; devrait également tomber incessamment sous peu le nom de celui qui recevra le prix Goebbels de l'al-Chimie, et on attend avec angoisse et espoir que le nom de l'immense Jacques Henry soit tiré du chapeau, lui qui a tant lutté pour dénoncer la violation du second principe de la pneumodynamique, ce ne serait que justice en ces temps où la dénonciation des viols, même trente ans en arrière, a fait prendre conscience à l'humanité qu'il fallait résolument se tourner vers notre avenir radieux.

Pour en revenir à nos deux co-lauréats qui viennent juste d'être désignés, il faut rappeler leur monumentale contribution à la science climatique ; c'est en effet eux qui ont révélé à la communauté des climatologues de la Terre entière une vérité qui leur avait jusqu'ici totalement échappée, à savoir que « le climat a toujours changé ! »

Cette révélation fit l'effet d'une bombe, car jamais des scientifiques pourtant mondialement reconnus comme James Hansen, Michael Mann ou Jean Jouzel, n'auraient pu un instant imaginer que le climat avait pu dans le passé subir des variations, qui plus est, tenez-vous bien, à la hausse puis à la baisse !

Ces scientifiques formaient, avec tous les autres, ce que l'on a appelé le consensus, lequel vient de voler littéralement en éclats ; ils pensaient naïvement que le climat était resté stable depuis la nuit des temps, et que comme ça, par l'opération du Saint-Esprit, il se serait mis à s'emballer brusquement suite à quelques expériences plus ou moins involontaires en géo-ingénierie, consistant à injecter du CO2 dans l'atmosphère « pour voir ce que ça fait »...

Ils en déduisirent bêtement (les gros benêts) que cette injection de CO2 aurait provoqué une soi-disant montée des températures entrainant toutes sortes de conséquences fâcheuses.

Nos deux lauréats, Rittaud et Gervais, ont brillamment démonté leurs arguties en prouvant que les températures avaient évolué dans le passé et que, par conséquent, l'homme ne pouvait en aucune manière être responsable de l'absence d'augmentation des températures que nous ne constatons pas actuellement.

Qu'ils en soient remerciés pour l'éternité.

La thèse de Rittaud et Gervais en une phrase et un dessin : « Ce qui fut reviendra et réciproquement, toutes choses égales par ailleurs »

Je tiens cependant à faire remarquer à mes aimables lecteurs qu'il y a deux ans, jour pour jour, j'avais quasiment prédit l'attribution de ce prix prestigieux à notre ami Benoit Rittaud ; en effet, je reconnaissais humblement, après tant d'errances de ma part, qu'il avait raison sur toute la ligne, dans un billet que j'intitulais fort à propos Benoit Rittaud a donc raison !

Comme vous pouvez le constater j'ai eu le nez creux et je ne suis donc pas plus surpris que cela de l'honneur qui est fait à notre inestimable mathématicien, honneur qui rejaillit sur toute la communauté climato-surréaliste et qu'il partage avec notre si talentueux pata-physicien de l'université de la Loire et du Cher réunis.


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