Le bleu du ciel ou de l'océan, selon que le regard se porte vers le haut ou plonge au-delà des falaises abruptes, le noir des produits de la Terre, cendres, roches, dykes ou sables volcaniques, le vert de la végétation parfois exubérante, le plus souvent clairsemée voire quasi inexistante et subsistant sous formes de traces, le blanc des nuages que l'on surplombe ou qui nous entourent, éphémère menace très vite levée à peine un peu plus loin si l'on se donne la peine de se déplacer de quelques centaines de mètres...
Il y aurait tant à dire au sujet de cette ile qui abrite le toit de l'Espagne au large des côtes du Maroc, le mieux est de regarder à quoi cela ressemble (du moins hors des agglomérations populeuses qui jalonnent les côtes et qui sont truffées de Teutons en quête de bronzage)
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Les routes ici se prélassent en d'interminables lacets et, par leur conception et leur excellent entretien, ridiculisent les voies de communication corses ! |
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Au dessus de los Gigantes des barrancos encaissés se précipitent dans la mer. |
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Les lignes de crêtes sont souvent des barrières infranchissables pour les maigres nébulosités qui tentent d'avancer.
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Le Chinyero et l'une de ses coulées de lave avec le Teide au loin en arrière-plan. |
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Il suffit de s'éloigner du tumulte des côtes et l'on découvre la tranquillité des forêts toisant les mers de nuages. |
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Qui du Chinyero ou du minuscule arbuste ose défier l'autre ? |
No comment...
RépondreSupprimerBeauté á couoer le souffle en effet ...
RépondreSupprimerMagnifiques photos .. merci de les partager avec nous