The CO2 Shift; Ice Age to Gas Age – Watts Up With That?
Abolition Man
May 2, 2021 8:11 am
From the included graphs it appears that the rapid rise in CO2 began 200 years ago! What caused that? Human emissions seem unlikely; perhaps there was a major increase in sea floor vulcanism and venting! We don’t know enough about the dynamics of the atmosphere, the hydrosphere OR the lithosphere, far less the mantle; to be throwing trillions of dollars away on snake oil and charms!
How about spending all our extra money on real science and solutions to actual human problems like poverty and reliable food, water and energy for the world! One of the first effects of leaving poverty behind would be a halting of population growth; but maybe the Greens don’t want that to occur because they are sure their plans for population are much more fun to implement! I’m beginning to doubt that there are any depths to which GangGreen will not go!
D'après les graphiques inclus, il semble que l'augmentation rapide du CO2 ait commencé il y a 200 ans ! Quelle en est la cause ? Les émissions humaines semblent peu probables ; peut-être y a-t-il eu une augmentation importante du volcanisme et de la ventilation des fonds marins ! Nous n'en savons pas assez sur la dynamique de l'atmosphère, de l'hydrosphère ou de la lithosphère, et encore moins du manteau, pour gaspiller des milliards de dollars en huile de serpent et en charmes !
Pourquoi ne pas consacrer tout notre argent supplémentaire à la science réelle et aux solutions aux problèmes humains réels comme la pauvreté et la fiabilité de la nourriture, de l'eau et de l'énergie dans le monde ? L'un des premiers effets de l'éradication de la pauvreté serait l'arrêt de la croissance démographique ; mais peut-être que les Verts ne veulent pas que cela se produise parce qu'ils sont sûrs que leurs plans pour la population sont beaucoup plus amusants à mettre en œuvre ! Je commence à douter qu'il y ait des profondeurs jusqu'où GangGreen ne veut pas aller !
Admirable ! Ou comment passer d'une question scientifique que l'on ne comprend pas à des considérations sur les Verts qui auraient des « plans pour la population ». Seule réaction possible :
Mais comment peut-on être con à ce point là ! |
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Deux sang-froids | Mythes, Mancies & Mathématiques (wordpress.com)
Le 1 mai 2021 à 8 h 01 min, Christophe Desmaris a dit :
Visiblement, Benoît Rittaud ne souhaite pas que je « dégage de ce blog car j’en salirais la communauté » selon l’élégante formule vomie plus haut, puisqu’il reste silencieux, donc jusqu’ici dans une attitude neutre.
Du moment qu'on ne contredit pas Benoit Rittaud il n'a aucune raison de censurer ses lecteurs. Et puis un clown qui radote ça met de l'ambiance et ça génère du traffic.
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Discussions sur l'effet de serre - Changement Climatique (skyfall.fr)
2877. jdrien | 1/05/2021 @ 14:07
phi (#2869), je voulais essayer de trouver une autre approche pour expliquer le rôle controversé des GES dans le gradient thermique, les différents avis étant apparemment inconciliables.
Euh, quel peut bien être le « rôle controversé des [gaz à effet de serre] dans le gradient thermique » étant donné que ce dernier n'a pas besoin d'eux pour exister ? J'ai beau chercher dans la définition du gradient de température, à aucun moment je ne vois la moindre variable GES :
Entre deux points très proches, distants d'une longueur δx, on mesure un écart de température δT. Au sens usuel, le gradient (de température) est justement le rapport entre ces deux grandeurs
Et si l'on parle de gradient adiabatique voici la formule :
Soit s l'entropie massique du milieu (à l'équilibre), fonction de la température T et de la pression P. Le gradient adiabatique est égal à :
Ce qui correspond à la définition :
Le gradient adiabatique est la valeur du gradient thermique pour laquelle l'entropie massique du milieu, supposé à l'équilibre, ne varie pas dans la direction du gradient, à composition et structure chimiques constantes. La température ne dépend alors que de la pression, suivant une loi qui ne dépend que des propriétés thermodynamiques du milieu.
Si l'on préfère la définition anglophone du lapse rate on a :
the lapse rate is the negative of the rate of temperature change with altitude change:
le gradient thermique est le négatif du taux de changement de température avec le changement d'altitude :
T is temperature, and z is altitude.
T est la température, et z est l'altitude.
Pour faire court si la température baisse avec l'altitude c'est essentiellement parce que la pression diminue. Bref aucune intervention des gaz à effet de serre pour expliquer la variation de température avec l'altitude. Donc aucune controverse sur le sujet, sauf dans la tête de jdrien. Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y ait aucun lien entre gaz à effet de serre et gradient thermique, mais c'est comme quand je vais faire un footing, qu'il commence à pleuvoir au 3ème kilomètre et que je me foule la cheville au 5ème kilomètre en glissant sur de la terre humide, la pluie et ma foulure vont avoir un impact sur mon footing sans être aucunement nécessaires pour le déclencher.
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Flagrants délires de médias qui trompent - Changement Climatique (skyfall.fr)
1620. Murps | 1/05/2021 @ 16:31
[...]
Les abrutis qui manifestaient sont maintenant ministres.
Moi j'en connais au moins un qui a réussi à devenir prof de SVT. Je ne parle évidemment pas d'un ministre.
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Énergie et politiques du climat - Changement Climatique (skyfall.fr)
6261. scaletrans | 2/05/2021 @ 17:49
Demokratia (#6260),
Avec les écolos, on est face à une destruction de richesse plus ou moins planifiée (selon qu’on les prend pour des Shadoks qui veulent pomper ou des déconstructivistes conscients et organisés).
Si je comprends bien Yannick Jadot est notre futur président de la République. Sacré scaletrans, toujours le mot pour rire.
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Catastrophe annoncée de la vaccination anti-Covid mais le CDC persiste et signe - AIMSIB
JY CONNOIR sur 2 mai 2021 à 22h45Tout le monde aura remarqué que dans CONNOIR il y a NOIR.
J’ai l’impression qu’on assiste à un génocide mondial organisé.
Jennifer Margulis is a home birth advocate and author. As is typical with many critics of modern medicine, she mixes legitimate criticism of things like over-treatment with conspiratorial thinking about how Big Medicine and Big Pharma are out to destroy you and your children in the name of profit.
Jennifer Margulis est un auteur et un défenseur de l'accouchement à domicile. Comme c'est le cas pour de nombreux détracteurs de la médecine moderne, elle mêle des critiques légitimes, comme le surtraitement, à des idées conspirationnistes sur la façon dont les grands groupes médicaux et pharmaceutiques cherchent à vous détruire, vous et vos enfants, au nom du profit.
Unsurprisingly, she flirts with vaccine denial as well, not outright saying that vaccines are bad but just asking questions about how safe and necessary they are.
Sans surprise, elle flirte également avec le déni des vaccins, ne disant pas franchement que les vaccins sont mauvais mais posant simplement des questions sur leur sécurité et leur nécessité.
fera valoir [...] qu'« il n'y pas de preuve que le VIH est un virus infectieux » et que les symptômes du SIDA « se superpose[nt] […] complètement » à ceux de la syphilis
Seth Kalichman (en) cita son article de 2009 comme un exemple de la contestation du SIDA « florissante »14 et soutiendra que « son appui du négationnisme VIH/SIDA défie l'entendement ». Il fera aussi remarquer sa prise de position en tant que « demandeuse de la vérité sur les attentats du 11 septembre »15
Une scientifique du MIT également préoccupée par les problèmes de coagulation sanguine et de fertilité, Stephanie Seneff, Ph.D., experte en synthèse des protéines, pense que l’hypothèse du Dr Lindsay est correcte. « Je partage absolument ces préoccupations », m’a écrit le Dr Seneff, qui est chercheuse principale au MIT, dans un courriel qui donne à réfléchir.Ah et qui est ce docteur Stephanie Seneff ? Il suffit de demander et nous avons le site naturalhealthperspective qui nous avertit :
Her health positions are so laughable that one wonders why a response is needed at all.
Ses positions en matière de santé sont tellement risibles que l'on se demande pourquoi une réponse est nécessaire.
In 2011, she began publishing controversial papers in low-impact, open access journals on biology and medical topics; the articles have received "heated objections from experts in almost every field she's delved into," according to columnist Ari LeVaux.[2]
Bref que du beau monde pour (ré)informer les lecteurs assidus de l'AIMSIB en leur donnant la fameuse pilule rouge, gage de lucidité retrouvée comme nous l'a montré notre CONNOIR avec son « génocide mondial organisé »En 2011, elle a commencé à publier des articles controversés dans des revues à faible impact et en accès libre sur des sujets de biologie et de médecine ; ces articles ont reçu "des objections enflammées de la part d'experts de presque tous les domaines dans lesquels elle s'est plongée", selon le chroniqueur Ari LeVaux[2].
leboucher sur 2 mai 2021 à 19h19C'est vrai que maintenant nous sommes habitués aux positions acrobatiques de Raoult et nous attendons avec une grande impatience non dissimulée une nouvelle vidéo YouTube qui nous révèlera l'horrible vérité.
Bonjour
j’aimerai connaitre la position du professeur Raoult sur ce sujet ??
A new study (Kullman, 2021) suggests ~9000-year-old tree remains can be found buried in “currently empty snow hollows and glacier cirques” at elevations 600-700 m higher than where trees can grow today, implying a >3°C warmer Early Holocene climate. Treelines were still 75-100 m higher during the Medieval Warm Period…and even during the 15th and 17th centuries.
Une nouvelle étude (Kullman, 2021) suggère que des restes d'arbres vieux de 9000 ans peuvent être trouvés enterrés dans des "creux de neige et des cirques glaciaires actuellement vides" à des altitudes de 600 à 700 m supérieures à celles où les arbres peuvent pousser aujourd'hui, ce qui implique un climat de l'Holocène précoce plus chaud de >3°C. Les lignes d'arbres étaient encore 75 à 100 m plus élevées pendant la période de réchauffement médiéval... et même pendant les 15e et 17e siècles.
According to megafossil records, mixed stands of birch and pine existed near 600 m above current treeline during the early Holocene. This implies 3.6°C warmer than present, in contrast to often advocated opinions that summer temperatures peaked in the middle Holocene. Adjusted for glacio-isostatic land uplift by c. 100 m since about 9500 cal. yr BP, the above figure has to be reduced by 0.6°C.
Selon les enregistrements de mégafossiles, des peuplements mixtes de bouleaux et de pins existaient près de 600 m au-dessus de la limite actuelle des arbres au début de l'Holocène. Cela implique une température de 3,6°C supérieure à celle d'aujourd'hui, contrairement aux opinions souvent défendues selon lesquelles les températures estivales ont atteint leur maximum à l'Holocène moyen. Si l'on tient compte du soulèvement glacio-isostatique des terres d'environ 100 m depuis environ 9500 ans, le chiffre ci-dessus doit être réduit de 0,6°C.
Presence of a tree cover impacts the microclimate [11] and largely governs the evolution of the understory plant species performance [12,13,14] and constrains the usefulness of this landscape for wild life and humans [15]. Microclimate benefits are greater for areas with a high-percentage tree canopy cover compared to medium- and low-percentage tree canopy cover—especially at noon [16].
La présence d'une couverture arborée a un impact sur le microclimat [11] et régit en grande partie l'évolution de la performance des espèces végétales du sous-étage [12, 13, 14]. Elle limite l'utilité de ce paysage pour la faune et l'homme [15]. Les avantages microclimatiques sont plus importants dans les zones où le pourcentage de couverture arborée est élevé que dans celles où il est moyen ou faible, en particulier à midi [16].
Benoît Rittaud : On sait depuis déjà longtemps [...] Cela doit nous rendre modestes sur notre capacité à comprendre l'évolution de grandeurs climatiques [...]
« On » ce sont les climatologues que Benoit Rittaud s'échine à injurier en les prenant pour des incompétents. Par contre lui, qui ne connait rien au sujet, se trouve « modeste », c'est bien pour cela qu'il est un climato-(ir)réaliste.
Quels enseignements cette étude apporte-t-elle sur la compréhension de l'impact de la chaleur aujourd'hui?
Atlantico.fr : Une étude américaine indique que la température moyenne sur terre durant le dernier âge glaciaire (il y an (sic) environ 20 000 ans) était comprise entre 5,7 et 6,5°C.
En réalité l'étude en question évoque un refroidissement de 5,7 à 6,5°C :
Our assimilated product provides a constraint on global mean LGM cooling of −6.1 degrees Celsius (95 per cent confidence interval: −6.5 to −5.7 degrees Celsius)
Notre produit assimilé fournit une contrainte sur le refroidissement moyen mondial du LGM de -6,1 degrés Celsius (intervalle de confiance de 95 % : -6,5 à -5,7 degrés Celsius).
Evidemment Rittaud ne relève pas l'erreur puisque de toute évidence il n'a pas lu, ou alors pas compris, ce qui serait pire, l'étude qui parle de refroidissement de 6,1°C et non de températures de cet ordre. Ce qui est encore plus consternant c'est que l'étude arrive à la conclusion que la sensibilité climatique à l'équilibre (ECS) serait conforme à celle mentionnée dans les rapports du GIEC :
Given assumptions concerning the radiative forcing of greenhouse gases, ice sheets and mineral dust aerosols, this cooling translates to an equilibrium climate sensitivity of 3.4 degrees Celsius (2.4–4.5 degrees Celsius), a value that is higher than previous LGM-based estimates but consistent with the traditional consensus range of 2–4.5 degrees Celsius3,4.
Compte tenu des hypothèses concernant le forçage radiatif des gaz à effet de serre, des calottes glaciaires et des aérosols de poussières minérales, ce refroidissement se traduit par une sensibilité climatique à l'équilibre de 3,4 degrés Celsius (2,4-4,5 degrés Celsius), une valeur plus élevée que les estimations précédentes basées sur le LGM mais conforme à la fourchette traditionnelle du consensus de 2-4,5 degrés Celsius3,4.
Pour avoir de réelle « bonnes » informations plutôt qu'Atlantico, qui fait appel à un clown pour amuser son public, mieux vaut consulter par exemple (le choix est vaste) Quelles températures régnaient sur Terre lors de la dernière ère glaciaire ? (trustmyscience.com) qui évoque la même étude :
Tierney et son équipe ont déterminé que pour chaque doublement du carbone atmosphérique, la température mondiale devrait augmenter de 3.4 °C, ce qui se situe au milieu de la fourchette prévue par la dernière génération de modèles climatiques (1.8 à 5.6 °C). Les niveaux atmosphériques de dioxyde de carbone pendant la période glaciaire étaient d’environ 180 parties par million, ce qui est très faible.180 ppm de CO2 qui donnent 6°C de moins qu'aujourd'hui, cela devrait faire réfléchir les ânes qui ont soif, ce qui n'est pas le cas de tous les ânes.
Le 4 mai 2021 à 13 h 26 min,Benoît Rittaud a dit :Quand Benoit Rittaud daigne prendre la parole c'est soit pour menacer un commentateur trop gênant de le censurer, en prétextant qu'il est hors sujet ou quelque chose dans ce genre, ou alors comme dans ce cas pour nous révéler sa conception de l'atténuation du changement climatique.
Bonne remarque. Pour ma part j’aime bien utiliser l’image suivante : quand il pleut, on prend son parapluie (adaptation) plutôt que de danser pour faire stopper la pluie (atténuation).
Le 4 mai 2021 à 17 h 39 min, Cédric Moro dit :S'il fallait compter sur Rittaud et sa bande pour vulgariser les notions d'adaptation et d'atténuation on ne serait pas sortis du sable.
Définitions du GIEC/UNFCC :
L’atténuation [...] L’adaptation [...]
Dommage que ces définitions simples ne soient pas plus connues, notamment du grand public, qui a tendance à tout mélanger si bien que sans vulgarisation efficace de ces notions pourtant basiques, il est difficile de poser rationnellement le débat.
D’ailleurs, quelqu’un sait-il si ces notions font partie des programmes de collège ou de lycée quand ils abordent le climat ?
Ce guide multidisciplinaire s'adresse aux enseignants de l'école primaire et du collège (cible : élèves de 9 à 15 ans) [...] Il s'achève par des propositions de mesures d’atténuation ou d’adaptation, à mettre en place dans leurs écoles ou leurs communautés.
Au collège, en classe de 5eme, la notion de changement climatique est mentionnée dans le thème 3 du programme de géographie : « Prévenir les risques, s'adapter au changement global ».
Dans le nouvel enseignement Sciences numériques et technologie [...] le thème « Les données structurées et leur traitement » amènera les élèves à prendre en compte plusieurs principes relatifs à l'environnement : « les usages numériques doivent être pensés de façon à limiter la transformation des écosystèmes (notamment le réchauffement climatique) et à protéger la santé humaine ».Dans ce dernier paragraphe il s'agit bien évidemment d'atténuation.
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