On n'en a pas ou peu parlé ici, en France, mais l'ouragan Walaka qui a sévi dans le Pacifique du 29 septembre au 9 octobre dernier a fait une victime directe, la minuscule bande de sable et de gravier de East Island que l'on pouvait auparavant admirer depuis le ciel comme ceci :
Le site civilbeat nous donne des explications en nous montrant ce montage avant/après :
Et avant nous pouvions la survoler comme par exemple cet été avec un drone :
Le scientifique Chip Fletcher, de l'Université d'Hawaï, s'est exprimé ainsi :
Et il n'est pas du tout certain que cette ile réapparaitra un jour :
Mais ne vous inquiétez pas, en France nous avons notre bon commissaire San-Antonio qui nous donne l'explication rien qu'en lisant les entrailles de poul…, pardon une carte tirée d'un article du Figaro :
Ainsi ce petit ilot de sable, qui existait peut-être du temps de La Pérouse et même bien avant sa venue (même si on ne peut pas l'affirmer, La Pérouse ayant failli s'échouer sur des brisants, difficile de dire quelle était la géographie exacte de l'archipel, si quelqu'un a des infos…), qui a survécu à un tsunami en 1946 et qui dut être évacué en 1950 à l'approche d'un typhon (source wikipedia) n'a donc pas résisté à l'ouragan Walaka, mais AntonioSan vous l'assure, « il n'y a rien d'extraordinaire à ce phénomène géologique banal » et ce motu (et bouche cousu ?) va se reformer bientôt, certainement quand un autre ouragan de force 5 ou 6 lui passera dessus en lui amenant du sable qu'il aura pris dans un autre endroit, car vous savez « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ».
Heureusement que nous avons de grands penseurs en France capables de lire l'avenir d'un motu rien qu'en regardant dans sa tasse de café (commandé bien entendu au bistrot du coin)
En ce qui me concerne je n'y connais rien en motus et mouvements de bancs de sable, donc j'évite d'émettre des hypothèses hasardeuses et je laisse les véritables experts m'expliquer les choses.
Le sieur AntonioSan, quand il va faire une radiographie pulmonaire, donne son avis et conseille le radiologue en lui donnant la marche à suivre, de la même manière s'il a une entreprise je suis certain qu'il explique à son comptable ce qu'il y a dans son bilan et son compte de résultat, AntonioSan il est comme ça, c'est un mec exceptionnel comme on n'en fait plus aujourd'hui.
Skyfall peut être fier de compter dans ses rangs cette sacrée pointure malheureusement ignorée de la science « officielle », mais lui au moins ne se laisse pas berner et connait la vérité, il sait qu'elle est « ailleurs ».
Longue vie à AntonioSan !
East Island, à l'est de La Pérouse Pinnacle, avant sa rencontre avec l'ouragan Walaka. |
Le site civilbeat nous donne des explications en nous montrant ce montage avant/après :
East Island avant. |
East Island après. |
Et avant nous pouvions la survoler comme par exemple cet été avec un drone :
Le scientifique Chip Fletcher, de l'Université d'Hawaï, s'est exprimé ainsi :
I had a holy shit moment, thinking ‘Oh my God, it’s gone,’ It’s one more chink in the wall of the network of ecosystem diversity on this planet that is being dismantled.”
Il pensait bien que ce bout d'ile disparaitrait dans les décennies à venir, submergé par la montée inéluctable des eaux, mais de toute évidence il fut étonné que cela se produise si vite.Je me suis dit merde alors ! en pensant: « Oh mon Dieu, il est parti », c’est une faille supplémentaire dans le mur du réseau de la diversité des écosystèmes de cette planète qui est en train d’être démantelé. "
Et il n'est pas du tout certain que cette ile réapparaitra un jour :
It’s unclear if East Island — an 11-acre spit of sand and gravel that hosted a U.S. Coast Guard radar station until 1952 — will ever return or how resilient the displaced animals will be.
On ne sait pas si East Island - une pointe de sable et de gravier de 11 acres ayant hébergé une station radar de la Garde côtière américaine jusqu'en 1952 - reviendra un jour ou à quel point les animaux déplacés seront résistants.
Mais ne vous inquiétez pas, en France nous avons notre bon commissaire San-Antonio qui nous donne l'explication rien qu'en lisant les entrailles de poul…, pardon une carte tirée d'un article du Figaro :
1923. AntonioSan | 25/10/2018 @ 18:39Oui une honte, mais on se demande bien pour qui.
Tristan Vey devrait avoir honte d’ecrire de telles conneries.
Enfin quoi, un « motu » petit banc de sable corallien émergé sur une barrière a « disparu » et Monsieur Vey nous sert la soupe au réchauffage. Pauvre truffe!
L’analyse de l’image en question montre clairement comment le sable qui a constitué au fil du temps, des vents et autres ouragans ce petit ilot, a été simplement redistribué in-situ, comblant le vide entre pâtés coralliens et en fait élargissant la base d’un futur motu.
Il n’y a rien d’extraordinaire à ce phénomène géologique banal, la forme et l’existence des motus sableux étant essentiellement variable et malléable au gré des vagues, courants et vents.
Oser faire de ce banc sableux à la végétation basse, une victime du réchauffement est simplement indigne, stupide et révélateur de ce qu’un journaleux peut écrire pour satisfaire ses maitres et l’idéologie.
Une honte.
Ainsi ce petit ilot de sable, qui existait peut-être du temps de La Pérouse et même bien avant sa venue (même si on ne peut pas l'affirmer, La Pérouse ayant failli s'échouer sur des brisants, difficile de dire quelle était la géographie exacte de l'archipel, si quelqu'un a des infos…), qui a survécu à un tsunami en 1946 et qui dut être évacué en 1950 à l'approche d'un typhon (source wikipedia) n'a donc pas résisté à l'ouragan Walaka, mais AntonioSan vous l'assure, « il n'y a rien d'extraordinaire à ce phénomène géologique banal » et ce motu (et bouche cousu ?) va se reformer bientôt, certainement quand un autre ouragan de force 5 ou 6 lui passera dessus en lui amenant du sable qu'il aura pris dans un autre endroit, car vous savez « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ».
Heureusement que nous avons de grands penseurs en France capables de lire l'avenir d'un motu rien qu'en regardant dans sa tasse de café (commandé bien entendu au bistrot du coin)
En ce qui me concerne je n'y connais rien en motus et mouvements de bancs de sable, donc j'évite d'émettre des hypothèses hasardeuses et je laisse les véritables experts m'expliquer les choses.
Le sieur AntonioSan, quand il va faire une radiographie pulmonaire, donne son avis et conseille le radiologue en lui donnant la marche à suivre, de la même manière s'il a une entreprise je suis certain qu'il explique à son comptable ce qu'il y a dans son bilan et son compte de résultat, AntonioSan il est comme ça, c'est un mec exceptionnel comme on n'en fait plus aujourd'hui.
Skyfall peut être fier de compter dans ses rangs cette sacrée pointure malheureusement ignorée de la science « officielle », mais lui au moins ne se laisse pas berner et connait la vérité, il sait qu'elle est « ailleurs ».
Longue vie à AntonioSan !
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