lundi 29 octobre 2018

C'est par où la sortie ?

Notre commissaire bien-aimé en remet une couche (de confiture), enferré qu'il est dans ses crêtes algales, à moins qu'il ne soit carrément ensablé sur quelque plage du côté d'Hawaï.
1947. AntonioSan | 29/10/2018 @ 19:09

amike (#1945), Là c’est pire dans le genre non-event: c’est un banc de sable corallien, mouvant au gré des courants et autres vents qui vient d’être remobilisé à 80% sous l’effet du passage fortuit d’un ouragan, le sable ayant été rejeté dans le côté lagon de la bande récifale, ennoyant quelques patch reefs isolés. On verra si la presse et le « Oh Shit » chercheur seront aussi prompts à publier quand le banc se sera reconstitué dans quelques années… D’ailleurs l’histoire ne dit pas ce qu’il advint d’autres bancs sablonneux près de la piste…
Il doit y avoir des milliers de bancs de sable corallien qui disparaissent et se reforment dans le monde en fonction des évènements météo, ouragans, fortes tempêtes, tsunamis mais personne ne vole au-dessus… Et les tortues n’en sont pas éteintes pour autant.
Tout ça parce que j'ai évoqué La Pérouse et les brisants sur lesquels il avait failli s'embrocher.

Mais quand le commissaire tient une piste, tel un bon limier il ne la lâche pas, il insiste, et c'est à ça qu'on le reconnait.

Il est vrai que les ouragans passent fortuitement, c'est bien connu, et quand ils démolissent un ilot peut-être multimillénaire c'est toujours fortuit, il ne faut pas s'attacher à ce genre d'événement sans réelle importance.

C'est comme la Corse qui subit actuellement des vents fortuits de 150 km/h, la mettant en alerte rouge parce que c'est bien connu, les Corses aiment le rouge et ils en redemandent, notre commissaire va faire son enquête et nous trouver fissa dans le passé des épisodes d'une puissance identique voire supérieure ; en fait la Corse a disparu il y a quelques décennies puis elle s'est reconstituée, tout comme le banc de sable d'East Island va sûrement se refaire une santé dans les jours qui viennent.

Bon tant pis si les animaux qui vivaient paisiblement depuis des lustres ont soit été exterminés soit sont en train actuellement de faire la brasse pour gagner les côtes Américaines (ils sont pas dans la panade avec Trump), après tout on s'en fout des tortues et des phoques moines, ils n'ont qu'à retourner au monastère et pas nous faire chier avec leurs cochoncetés que des voyeurs scientifiques s'évertuent à prendre en note aux frais du contribuable.

Et c'est également vrai qu'il y a « des milliers de bancs de sable corallien », le commissaire les a comptés un à un, alors pour lui dire merci ils pourraient quand même faire l'effort de s'y rendre pour s'y faire oublier.

Bon je ne sais pas si notre Tonio chéri va finir par trouver la sortie et se tirer du merdier dans lequel il s'est fourré, on lui souhaite en tout cas bonne chance ainsi qu'au représentant de la Papouasie française qui a l'air de l'aider dans ses enquêtes :
1948. rpf | 29/10/2018 @ 20:53

scaletrans (#1946),
L’hommage du vice à la vertu.
L’ « ami » de AntonioSan (Ged) itou.

On avait dit mange et tais-toi ! Mais il n'écoute pas et voilà le résultat.

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